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Homélie de la Solennité du Christ-Roi de l’Univers du Père Julien PALCOUX

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Solennité du Christ-Roi de l’Univers

Frères et sœurs,

 

La liturgie de l’Eglise nous invite à honorer en ce jour la Royauté Toute-Puissante du Seigneur Jésus, royauté qui s’étend sur tout l’univers au moment-même où notre société est bouleversée par des attaques terroristes jihadistes, donc des attaques de nature religieuse fondamentaliste. La Tentation a toujours existé dans toutes les religions d’absolutiser la Royauté de Dieu et de l’appliquer directement sur nos sociétés humaines. Mais au-delà de cette tentation, le Christ vient nous révéler la nature profonde de sa royauté, nous montrant ainsi le chemin à suivre pour vivre dans le monde, tout en ayant conscience que nous ne sommes pas du monde. Et je crois profondément que le christianisme a quelque chose de particulier et d’unique à dire et à apporter à notre monde.

Je disais que dans toute religion a existé la tentation d’absolutiser la Royauté de Dieu. Jésus en a fait lui-même les frais. Qui mieux que Lui aura supporté l’ambiguité de la conception de la Royauté ? du début de sa vie jusqu’à sa fin ? Rappelez-vous : à peine né, Jésus doit fuir en Egypte avec ses parents, parce qu’Hérode, Roi d’Israël, craint pour sa royauté. Il veut tuer ce Nouveau Roi dont on annonce la naissance et, à cet effet, massacrera tous les nouveaux nés âgés de moins de deux ans. Durant sa vie, dès que Jésus accomplit, en vertu de sa divinité, un miracle, surgit cette question : « Quand vas-tu rétablir la royauté en Israël ? » Et puis, à la fin de sa vie : « Es-tu le Roi des Juifs » demandera Ponce Pilate à Jésus. Et, le motif de sa mort sera inscrit sur la croix : « INRI : Iesus Nazareus Rex Iudicorum ». Mais il y a une autre raison propre à cette ambigüité quant à la royauté de Jésus, une autre raison qui dépasse la tentation de l’homme d’absolutiser la royauté de Dieu. C’est qu’Israël attend un Messie qui doit être issu de la tribu de Juda. Or la tribu de Juda est la tribu royale d’Israël, celle de laquelle sont issus tous les rois. Le Roi David, dont la figure a à ce point marqué la conscience et l’histoire du peuple Hébreu, était issu de la tribu de Juda. Dès lors, on comprend aisément l’ambigüité de l’attente du Messie issu d’une tribu royale. Le Messie est vu comme devant être un Roi, un nouveau Roi David. L’attente d’un Messie Nouveau Roi prend le dessus sur l’attente d’un Messie Nouveau prophète, Nouveau Moïse. Jésus portera, supportera même, l’ambigüité de la royauté tout au long de sa vie.

 

Pour autant, Jésus n’a jamais cultivé l’ambigüité. Quand on veut le saisir pour faire de Lui le Roi d’Israël, il fuit. Quand on le présente à Pilate en disant qu’Il est Roi, Il est dévêtu, couronné d’épines, avec un drap déchiré, un corps flagellé et meurtri, en sang. Et ses propos sont clairs : « Ma royauté ne vient pas de ce monde. »

Je voudrais m’arrêter sur ces paroles de Jésus parce qu’elles sont très importantes pour bien comprendre la nature de la royauté qu’Il assume. Jésus distingue sa royauté de ce monde. Nous connaissons d’autres paroles qui vont dans le même sens : « Rendez à César ce qui est César et à Dieu ce qui est à Dieu. », ou encore en St Jean : « Vous êtes dans le monde, mais vous n’êtes pas du monde. »Jésus distingue donc la sphère temporelle et la sphère spirituelle. Les deux ordres sont distincts et différents. Et cette différence ne réside pas dans une question de degré, au sens où l’ordre temporel serait moins parfait que l’ordre spirituel ; mais elle réside dans une différence de nature. Si ceci est bien posé, on comprend alors une première chose : c’est que le Royaume de Dieu, l’ordre spirituel, ne peut être transposé et appliqué comme tel dans l’ordre temporel ; car alors, on nierait la différence de nature des deux ordres, tout comme on nierait la différence essentielle entre la nature divine et la nature humaine.

Mais, reconnaître la nécessaire distinction des deux ordres conduit aussi à reconnaître la nature des liens qui les unit. L’Evangile, qui tire sa force de Dieu, se répand à travers le monde, transformant même notre monde. Pour le dire autrement, mais c’est la même réalité, l’Amour de Dieu, la miséricorde de Dieu, guident, orientent et informent nos manières de vivre en ce monde. L’Evangile est une force de transformation qui convertit, avec nous, malgré nous, notre monde.

Deux cas de figures illustrent ce que je vous dis : la période dite de « chrétienté » et la période actuelle de nos sociétés modernes. Dans la « chrétienté », la société civile est encadrée, dirigée par l’Eglise. Il ne s’agit nullement d’une confusion des ordres temporels et spirituels qui demeurent distincts ; mais il y a une très grande proximité entre l’Evangile, les lois de l’Eglise et les lois politiques, civiles.  L’Eglise, de nature et spirituelle et temporelle, gouverne ou du moins encadre la vie de la société.

Dans nos sociétés dites modernes, nous nous situons dans des sociétés post-chrétiennes, c’est-à-dire des sociétés qui ont été chrétiennes, dont les valeurs sont issues de l’Evangile, mais qui, tout en gardant ces valeurs, s’émancipent de Dieu qui en est la source. C’est exactement ce que nous vivons aujourd’hui. Regardez par exemple la devise de notre pays : Liberté, Egalité, Fraternité. Ces trois valeurs sont issues de l’Evangile. Qui libère profondément l’homme du péché, de ce qui l’aliène ? C’est Jésus. Qui donne les mêmes droits à toute personne, outrepassant à plusieurs reprises la Loi de Moïse ? C’est Jésus. Qui fonde le principe d’une fraternité nouvelle dépassant les liens du sang ou des tribus ? C’est Jésus. Je pourrais continuer…Dans les sociétés post-chrétiennes qui se sont construites sur les valeurs de l’Evangile, la société reprend à son compte ce que l’Eglise faisait : l’école, le soin des malades, le secours aux plus pauvres, aux plus démunis. Dans les sociétés post-chrétiennes, on parle de Nouvelle Evangélisation au sens où il faut revenir aux racines chrétiennes qui ont déjà façonné la culture, le pays, ce qu’on a tendance à oublier aujourd’hui où pour évangéliser on cherche surtout à inventer de nouvelles choses ou alors on fait l’impasse sur 2000 ans de présence chrétienne. Mais il est aussi symptomatique que dans ces sociétés post-chrétiennes, on cherche à s’émanciper de Dieu au nom même des valeurs issues de l’Evangile. C’est le paradoxe de nos sociétés modernes.

Alors, quel est le rôle des baptisés dans la participation à la construction de la Royauté du Christ ? Deux éléments caractérisent la royauté du Christ. C’est une royauté d’Amour dans laquelle Jésus va jusqu’au bout du don de sa vie. C’est une royauté qui apporte le Salut, la vraie libération. Participer à la construction d’une royauté d’amour est à la portée de tous. Cela commence dans notre manière de vivre les uns avec les autres ; dans nos actes, dans nos paroles. Puis, cela passe aussi par un engagement dans la société pour défendre les principes issus de l’Evangile, de la foi chrétienne, par rapport à la famille, à la justice sociale, aux plus pauvres, à la vie menacée de la conception naturelle jusqu’à la fin naturelle. Il est important qu’il y ait des hommes et des femmes qui s’engagent en politique en défendant les valeurs chrétiennes ; il est important que dans les domaines de l’enseignement, de la médecine, de la justice, du journalisme, il y ait des chrétiens solides de conviction. Et c’est votre rôle de baptisés.

Mais la participation à la construction de cette royauté d’amour que Jésus est venu inaugurer ne doit pas faire oublier que cette royauté apporte le Salut. On peut multiplier les Lois, on peut avoir des Lois justes, qui permettent la justice et qui permettent de vivre sereinement les uns avec les autres, les Lois ne peuvent pas sauver. Le salut est d’un autre ordre : c’est le Christ qui sauve, du péché, du mal, de la mort. La Royauté du Christ doit conduire au Salut et au Roi de la création nouvelle « libérée de la servitude » comme dit la Collecte de la messe.  Dans le triste contexte que nous connaissons aujourd’hui, il est important que les chrétiens redisent à notre société que le rôle de l’homme est de servir Dieu et non de servir de Dieu, qui plus est pour tuer. Il est important aussi de rétablir l’honneur de Dieu, de ne pas laisser l’image de Dieu être confisquée par les jihadistes islamistes. Si la laïcité doit permettre la vie ensemble sur des bases communes, on voit bien que son rôle n’est pas de donner un juste visage de Dieu et qu’elle est impuissante à révéler le visage de Dieu. C’est notre rôle de baptisés, encore plus urgent aujourd’hui. Que le Seigneur nous y aide. Amen !

Frères et sœurs,

 

La liturgie de l’Eglise nous invite à honorer en ce jour la Royauté Toute-Puissante du Seigneur Jésus, royauté qui s’étend sur tout l’univers au moment-même où notre société est bouleversée par des attaques terroristes jihadistes, donc des attaques de nature religieuse fondamentaliste. La Tentation a toujours existé dans toutes les religions d’absolutiser la Royauté de Dieu et de l’appliquer directement sur nos sociétés humaines. Mais au-delà de cette tentation, le Christ vient nous révéler la nature profonde de sa royauté, nous montrant ainsi le chemin à suivre pour vivre dans le monde, tout en ayant conscience que nous ne sommes pas du monde. Et je crois profondément que le christianisme a quelque chose de particulier et d’unique à dire et à apporter à notre monde.

            Je disais que dans toute religion a existé la tentation d’absolutiser la Royauté de Dieu. Jésus en a fait lui-même les frais. Qui mieux que Lui aura supporté l’ambiguité de la conception de la Royauté ? du début de sa vie jusqu’à sa fin ? Rappelez-vous : à peine né, Jésus doit fuir en Egypte avec ses parents, parce qu’Hérode, Roi d’Israël, craint pour sa royauté. Il veut tuer ce Nouveau Roi dont on annonce la naissance et, à cet effet, massacrera tous les nouveaux nés âgés de moins de deux ans. Durant sa vie, dès que Jésus accomplit, en vertu de sa divinité, un miracle, surgit cette question : « Quand vas-tu rétablir la royauté en Israël ? » Et puis, à la fin de sa vie : « Es-tu le Roi des Juifs » demandera Ponce Pilate à Jésus. Et, le motif de sa mort sera inscrit sur la croix : « INRI : Iesus Nazareus Rex Iudicorum ». Mais il y a une autre raison propre à cette ambigüité quant à la royauté de Jésus, une autre raison qui dépasse la tentation de l’homme d’absolutiser la royauté de Dieu. C’est qu’Israël attend un Messie qui doit être issu de la tribu de Juda. Or la tribu de Juda est la tribu royale d’Israël, celle de laquelle sont issus tous les rois. Le Roi David, dont la figure a à ce point marqué la conscience et l’histoire du peuple Hébreu, était issu de la tribu de Juda. Dès lors, on comprend aisément l’ambigüité de l’attente du Messie issu d’une tribu royale. Le Messie est vu comme devant être un Roi, un nouveau Roi David. L’attente d’un Messie Nouveau Roi prend le dessus sur l’attente d’un Messie Nouveau prophète, Nouveau Moïse. Jésus portera, supportera même, l’ambigüité de la royauté tout au long de sa vie.

 

            Pour autant, Jésus n’a jamais cultivé l’ambigüité. Quand on veut le saisir pour faire de Lui le Roi d’Israël, il fuit. Quand on le présente à Pilate en disant qu’Il est Roi, Il est dévêtu, couronné d’épines, avec un drap déchiré, un corps flagellé et meurtri, en sang. Et ses propos sont clairs : « Ma royauté ne vient pas de ce monde. »

Je voudrais m’arrêter sur ces paroles de Jésus parce qu’elles sont très importantes pour bien comprendre la nature de la royauté qu’Il assume. Jésus distingue sa royauté de ce monde. Nous connaissons d’autres paroles qui vont dans le même sens : « Rendez à César ce qui est César et à Dieu ce qui est à Dieu. », ou encore en St Jean : « Vous êtes dans le monde, mais vous n’êtes pas du monde. »Jésus distingue donc la sphère temporelle et la sphère spirituelle. Les deux ordres sont distincts et différents. Et cette différence ne réside pas dans une question de degré, au sens où l’ordre temporel serait moins parfait que l’ordre spirituel ; mais elle réside dans une différence de nature. Si ceci est bien posé, on comprend alors une première chose : c’est que le Royaume de Dieu, l’ordre spirituel, ne peut être transposé et appliqué comme tel dans l’ordre temporel ; car alors, on nierait la différence de nature des deux ordres, tout comme on nierait la différence essentielle entre la nature divine et la nature humaine.

            Mais, reconnaître la nécessaire distinction des deux ordres conduit aussi à reconnaître la nature des liens qui les unit. L’Evangile, qui tire sa force de Dieu, se répand à travers le monde, transformant même notre monde. Pour le dire autrement, mais c’est la même réalité, l’Amour de Dieu, la miséricorde de Dieu, guident, orientent et informent nos manières de vivre en ce monde. L’Evangile est une force de transformation qui convertit, avec nous, malgré nous, notre monde.

Deux cas de figures illustrent ce que je vous dis : la période dite de « chrétienté » et la période actuelle de nos sociétés modernes. Dans la « chrétienté », la société civile est encadrée, dirigée par l’Eglise. Il ne s’agit nullement d’une confusion des ordres temporels et spirituels qui demeurent distincts ; mais il y a une très grande proximité entre l’Evangile, les lois de l’Eglise et les lois politiques, civiles.  L’Eglise, de nature et spirituelle et temporelle, gouverne ou du moins encadre la vie de la société.

Dans nos sociétés dites modernes, nous nous situons dans des sociétés post-chrétiennes, c’est-à-dire des sociétés qui ont été chrétiennes, dont les valeurs sont issues de l’Evangile, mais qui, tout en gardant ces valeurs, s’émancipent de Dieu qui en est la source. C’est exactement ce que nous vivons aujourd’hui. Regardez par exemple la devise de notre pays : Liberté, Egalité, Fraternité. Ces trois valeurs sont issues de l’Evangile. Qui libère profondément l’homme du péché, de ce qui l’aliène ? C’est Jésus. Qui donne les mêmes droits à toute personne, outrepassant à plusieurs reprises la Loi de Moïse ? C’est Jésus. Qui fonde le principe d’une fraternité nouvelle dépassant les liens du sang ou des tribus ? C’est Jésus. Je pourrais continuer…Dans les sociétés post-chrétiennes qui se sont construites sur les valeurs de l’Evangile, la société reprend à son compte ce que l’Eglise faisait : l’école, le soin des malades, le secours aux plus pauvres, aux plus démunis. Dans les sociétés post-chrétiennes, on parle de Nouvelle Evangélisation au sens où il faut revenir aux racines chrétiennes qui ont déjà façonné la culture, le pays, ce qu’on a tendance à oublier aujourd’hui où pour évangéliser on cherche surtout à inventer de nouvelles choses ou alors on fait l’impasse sur 2000 ans de présence chrétienne. Mais il est aussi symptomatique que dans ces sociétés post-chrétiennes, on cherche à s’émanciper de Dieu au nom même des valeurs issues de l’Evangile. C’est le paradoxe de nos sociétés modernes.

            Alors, quel est le rôle des baptisés dans la participation à la construction de la Royauté du Christ ? Deux éléments caractérisent la royauté du Christ. C’est une royauté d’Amour dans laquelle Jésus va jusqu’au bout du don de sa vie. C’est une royauté qui apporte le Salut, la vraie libération. Participer à la construction d’une royauté d’amour est à la portée de tous. Cela commence dans notre manière de vivre les uns avec les autres ; dans nos actes, dans nos paroles. Puis, cela passe aussi par un engagement dans la société pour défendre les principes issus de l’Evangile, de la foi chrétienne, par rapport à la famille, à la justice sociale, aux plus pauvres, à la vie menacée de la conception naturelle jusqu’à la fin naturelle. Il est important qu’il y ait des hommes et des femmes qui s’engagent en politique en défendant les valeurs chrétiennes ; il est important que dans les domaines de l’enseignement, de la médecine, de la justice, du journalisme, il y ait des chrétiens solides de conviction. Et c’est votre rôle de baptisés.

Mais la participation à la construction de cette royauté d’amour que Jésus est venu inaugurer ne doit pas faire oublier que cette royauté apporte le Salut. On peut multiplier les Lois, on peut avoir des Lois justes, qui permettent la justice et qui permettent de vivre sereinement les uns avec les autres, les Lois ne peuvent pas sauver. Le salut est d’un autre ordre : c’est le Christ qui sauve, du péché, du mal, de la mort. La Royauté du Christ doit conduire au Salut et au Roi de la création nouvelle « libérée de la servitude » comme dit la Collecte de la messe.  Dans le triste contexte que nous connaissons aujourd’hui, il est important que les chrétiens redisent à notre société que le rôle de l’homme est de servir Dieu et non de servir de Dieu, qui plus est pour tuer. Il est important aussi de rétablir l’honneur de Dieu, de ne pas laisser l’image de Dieu être confisquée par les jihadistes islamistes. Si la laïcité doit permettre la vie ensemble sur des bases communes, on voit bien que son rôle n’est pas de donner un juste visage de Dieu et qu’elle est impuissante à révéler le visage de Dieu. C’est notre rôle de baptisés, encore plus urgent aujourd’hui. Que le Seigneur nous y aide. Amen !

Actualités de la Paroisse - articles récents

Messes du 22 au 28 avril 2024

Semaine 16

Lundi 22 avril – de la férie

  • Retraite confirmation à Montligeon de 9:30 à 17:00

Mardi 23 avril – S. Georges, martyr ; S. Adalbert, évêque et martyr

  • Retraite confirmation à Montligeon de 9:30 à 17:00
  • Centre Bethléem de 08:00 à 17:00 – Patronage
  • Messe à l’église de La Madeleine à 18:30

Mercredi 24 avril – S. Fidèle de Sigmaringen, prêtre et martyr

  • Messe à l’église de Pullay à 18:00

Jeudi 25 avril – S. Marc, évangéliste

  • Messe à l’église des Juignettes à 18:00

Vendredi 26 avril – de la férie

  • Eglise de la Madeleine à 17:30 – Adoration
  • Messe à l’église de La Madeleine à 18:30

Samedi 27 avril – de la férie

  • Eglise de La Madeleine à 9:15 – Laudes
  • Messe à l’église de La Madeleine à 9:30
  • Eglise de Bourth à 11:00 – Baptême
  • Messe à l’église de Ambenay à 18:00

Dimanche 28 avril – 5ème Dimanche de Pâques

  • Messe à l’église de St Germain de Rugles à 9:15
  • Messe à l’église de La Madeleine à 11:00 – Baptême
  • Centre Bethléem de 12:30 à 16:30 – Foi et lumière
  • Randonnée pastorale de Ambenay, Rugles et Bois-Arnault de 14:00 à 17:00

Messes du 8 au 14 avril 2024

Semaine 14

Lundi 8 avril – Annonciation du Seigneur

  • Messe à l’église de La Madeleine à 18:30

Mardi 9 avril – de la férie

  • Centre Bethléem de 16:30 à 18:30 – Patronage
  • Messe à l’église de La Madeleine à 18:30

Mercredi 10 avril – de la férie

  • Messe à l’église de Bourth à 18:00

Jeudi 11 avril – S. Stanislas, évêque

  • Messe à l’église de St Antonin de Sommaire à 18:00

Vendredi 12 avril – de la férie

  • Messe à l’Ehpad de La Vannerie à 15:00
  • Eglise de la Madeleine à 17:30 – Adoration
  • Messe à l’église de La Madeleine à 18:30

Samedi 13 avril – S. Martin Ier, pape, martyr

  • Eglise de La Madeleine à 9:15 – Laudes
  • Messe à l’église de La Madeleine à 9:30
  • Eglise de St Germain de Rugles à 16:00 – Mariage de Kevin Piquet et Tiffany Kayser
  • Messe à l’église de Chaise-Dieu du Theil à 18:00

Dimanche 14 avril – 3ème Dimanche de Pâques

  • Messe à l’église de St Germain de Rugles à 9:15
  • Centre Bethléem de 9:30 à 10:30 – Préparation première communion
  • Messe à l’église de La Madeleine à 11:00 – Messe des familles
  • Eglise St Germain de Rugles à 16:00 – Concert