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18 fĂ©vrier, sainte Bernadette Soubirous : 7 janvier 1844 – 16 avril 1879

Sainte Bernadette Soubirous : 7 janvier 1844 – 16 avril 1879.

Le 18 fĂ©vrier 1858, la Vierge Marie dit Ă  Bernadette : de ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde mais dans l’autre.

Aussi est-ce le jour qui a Ă©tĂ© choisi pour fĂŞter sainte Bernadette Soubirous (1844-1879). En effet, si l’Église n’a pas canonisĂ© la voyante de Lourdes en tant que telle, on peut dire cependant que c’est la grâce de Massabielle qui a fait la saintetĂ© de Bernadette. Celle-ci a d’abord contemplĂ© la gloire du Seigneur dans la beautĂ© de la Mère de Dieu, car Ă  son regard Ă©merveillĂ© est apparue Marie transfigurĂ©e. Dieu l’a choisie petite et pauvre ; elle rĂ©pĂ©tait sans comprendre ce que la Vierge lui disait, car c’est aux petits de ce monde que sont rĂ©vĂ©lĂ©s les secrets du Père. Puis, elle vĂ©cut un mystère d’ense­velissement : Ă  Nevers, la sĹ“ur Marie-Bernard, que sa supé­rieure dĂ©clarait « bonne Ă  rien », conservait toutes ces choses dans son cĹ“ur ; elle se tint, des annĂ©es durant, silencieuse près de Marie au pied de la Croix, jusqu’au moment oĂą, en murmu­rant : Sainte Marie Mère de Dieu, priez pour moi, pauvre pĂ©cheresse. Elle devait ĂŞtre glorifiĂ©e avec le Christ le16 avril 1879.

Récit des évènements

Bernadette Soubirous Ă©tait la fille aĂ®nĂ©e d’une famille nombreuse de meunier de Lourdes, que l’arrivĂ©e des moulins Ă  vapeur jettera dans une extrĂŞme pauvretĂ©. Elle avait quatorze ans, quand, un jour, allant Ă  Massabielle ramasser du bois mort avec deux amies, elle vit apparaĂ®tre une « Dame », dans l’ouverture du rocher, au-dessus d’un Ă©glantier. La « Dame », qui devait, le 25 mars, rĂ©vĂ©ler son nom, l’« ImmaculĂ©e Conception », apparut dix-huit fois Ă  Ber­nadette, du jeudi 11 fĂ©vrier au 16 juillet 1858 ; chargĂ©e de transmettre le message de la Vierge Marie, et non de le faire croire, fut pour l’enfant l’occasion de toutes sortes d’humiliations et de mauvais traitements.

Devant le bruit fait par les apparitions, le clergĂ© et les pouvoirs publics Ă©taient rĂ©ticents, sinon hostiles. Sans s’Ă©mouvoir, Ber­nadette continua Ă  obĂ©ir Ă  la Dame qui lui disait : Je veux qu’on bâtisse ici une chapelle et qu’on y vienne en procession. Va te laver et boire Ă  la source. Il n’y avait pas de source, mais sous le doigt de l’enfant obĂ©issante, un mince filet d’eau bourbeuse coula, elle se lava et but, et la source devint une fontaine jail­lissante. Ces apparitions n’empĂŞchèrent pas Bernadette de garder toute sa simplicitĂ©, doublĂ©e d’une lĂ©gère et bonne espièglerie : mais dès lors Bernadette sentit naĂ®tre en elle le dĂ©sir d’entrer chez les CarmĂ©lites. De 1860 Ă  1866, presque toujours malade, elle reste Ă  Lourdes comme pensionnaire chez les SĹ“urs de l’Hos­pice, dirigĂ© par les SĹ“urs de la CharitĂ© de Nevers. Elle y apprendra Ă  lire et Ă  Ă©crire afin de prĂ©parer sa première communion.

Son témoignage

Catherine LabourĂ© avait accompli son mandat en se taisant ; Bernadette remplit le sien en se racontant. Notre foi dans les apparitions de Lourdes est, en effet, fondĂ©e sur ces vingt et une an­nĂ©es d’attestations ininterrompues qu’a prodiguĂ©es Bernadette. Si elle fut morte dans une extase, cette histoire n’aurait eu d’autre appui que la merveilleuse fontaine ; les images des apparitions devenaient nuageuses et discutables. Mais c’est sur la constance de ces affirmations cent fois renouvelĂ©es que s’est assise la claire notion de leur rĂ©alitĂ©. Bernadette a Ă©tĂ© la plus active des missionnaires. Elle n’Ă©vangĂ©lisa pas les foules ; ce furent les foules qui vinrent Ă  elle. Dans le pauvre taudis de Lourdes, ses journĂ©es se passaient Ă  recevoir des visites qui se multipliaient ; Ă  peine avait-elle le temps d’aller « au bois ». Dans une après-midi il lui arrivait de rĂ©pĂ©ter vingt fois le rĂ©cit des apparitions avec leurs particularitĂ©s. Au pensionnat, les appels au parloir interrompaient tous ses travaux. Sans cesse, elle dĂ©posait son ouvrage pour aller recevoir le prĂŞtre ou l’in­croyant, la mondaine ou l’Ă©vĂŞque, le riche Ă©tranger ou le paysan basque, rĂ©pondre aux mĂŞmes questions, rĂ©futer les mĂŞmes objections interrogĂ©e, elle rĂ©pond avec luciditĂ©, mais brièvement.

Ses réparties

Tout change si par hasard on s’avise de la contre-dire et de nier les apparitions.

– Eh, dites ! Elle Ă©tait bien jolie, la Sainte Vierge ?

Oh ! oui, Monsieur le Curé ; bien plus jolie que vous.

– Vous souvenez-vous des traits de la Sainte Vierge ? Pourriez-vous la reconnaĂ®tre quand vous arriverez au paradis ?

Bien sĂ»r ! … pourvu qu’elle n’ait pas changĂ©, ajoute-t-elle malicieusement.

– Le prĂ©sident de l’enquĂŞte ecclĂ©siastique lui demande pourquoi, au moment de la dĂ©couverte de la source, elle mangea un brin d’herbe ?

Je ne sais, la Dame m’y a poussĂ©e, en me le faisant comprendre.

– Mais, mon enfant, il n’y a que les animaux qui mangent de l’herbe.

Oh ! pour cela, Monsieur l’AbbĂ©, vous vous trompez. Vous mangez bien des salades crues.

Après la sĂ©rie d’apparitions, Bernadette n’eut plus que la courte et silencieuse apparition du jour de la fĂŞte du Mont-Carmel ; ce, fut un adieu et un au revoir. DĂ©sormais, la Voyante restait seule avec sa mission de prouver au monde la rĂ©alitĂ© et le cĂ´tĂ© surnaturel de ses affirmations. En juillet, après des adieux dĂ©chirants Ă  la Grotte, Bernadette entre comme postulante chez les sĹ“urs de la CharitĂ© de Nevers Ă  Saint Gildard [Maison mère de la congrĂ©gation], dans le dessein bien arrĂŞtĂ© de se cacher et de disparaĂ®tre de ce monde. Le 29 juillet, elle prend l’habit sous le nom de SĹ“ur Marie-Bernard et, le 30 octobre 1867, prononce ses vĹ“ux de religion.

En Religion

La SupĂ©rieure gĂ©nĂ©rale et la MaĂ®tresse des novices reçurent la postu­lante en tremblant de bonheur ; mais une insurmontable dĂ©fiance empê­cha jusqu’Ă  la fin ces deux religieuses de reconnaĂ®tre la rĂ©elle humilitĂ© et la profonde saintetĂ© de la petite Soubirous ; et elles se crurent tenues Ă  l’humilier Ă  tout propos.

Vers la fin d’aoĂ»t la jeune sĹ“ur subit une crise qui la rĂ©duisit Ă  toute extrĂ©mitĂ©. On jugea nĂ©cessaire de l’administrer et de lui permettre d’Ă©mettre les saints vĹ“ux. Mais, contre toute attente, le lendemain la malade se remit et dit Ă  la SupĂ©rieure :

– Ma chère Mère, vous m’avez fait faire ma profession, croyant , que j’allais mourir. Eh bien ! voilĂ  que je ne mourrai pas.

La SupĂ©rieure, croyant reconnaĂ®tre dans cette parole, l’aveu d’une supercherie, lui dit :

– Petite sotte ! Vous saviez que vous n’alliez pas mourir, et vous ne l’avez pas dit. Dans ce cas-lĂ , si demain vous n’ĂŞtes pas morte, je vous retire votre voile de professe.

– Comme il vous plaira, ma chère Mère, rĂ©pondit la jeune sĹ“ur.

Son humilité

Dans toutes les occasions semblables, la rĂ©action de sĹ“ur Marie-Bernard fut toujours admirable. Ainsi, une nouvelle postu­lante manifestait sa surprise de n’avoir pas encore rencontrĂ© Bernadette. La SupĂ©rieure lui dit : « Bernadette ! mais la voilĂ  ! » Ça, Bernadette ! s’Ă©cria la postulante.

– Mais oui, mademoiselle ; ce n’est que ça, rĂ©pondit l’humble novice.

La postulante, devenue religieuse, ne se pardonna jamais l’incorrec­tion de ce mot terrible.

Bernadette disait d’elle-mĂŞme : La Vierge s’est servie de moi puis on m’a remise dans un coin. C’est ma place, j’y suis heureuse et j’y reste … J’ai fait comme les bĹ“ufs de BĂ©tharram qui ont dĂ©couvert une statue.

Presque constamment malade ici encore, Bernadette est nommĂ©e aide-infirmière Ă  la Maison-Mère. Treize ans du­rant, elle sera très durement menĂ©e par la SupĂ©rieure gĂ©nĂ©rale qui, ne croyant pas aux apparitions, la traitait de « bonne Ă  rien ». D’une nature très sensible, Bernadette ressentait profondĂ©ment ces humiliations et luttait constamment pour rĂ©primer les vivacitĂ©s et sautes d’humeur de son tem­pĂ©rament.

Sa mort

Durant ses deux dernières annĂ©es, les souffrances physiques et morales redoublant, Bernadette s’offrit Ă  Dieu comme victime. Le jour de sa mort, sĹ“ur Marie-Bernard, munie de tous les secours de l’Eglise, dit d’une voix bien accentuĂ©e : Mon Dieu, je vous aime de tout mon cĹ“ur, de toute mon âme, et de toutes mes for­ces.

Puis elle murmura : Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour moi, pauvre pécheresse, pauvre pécheresse.

Elle expira douce­ment Ă  35 ans, le 16 avril 1879, en rĂ©citant l’Ave Maria.

Epilogue

Bernadette, devenue religieuse de Nevers, est entrĂ©e dans le silence, et Lourdes a commencĂ© Ă  vivre de sa vie Ă©tonnante. Une basilique se dresse sur le rocher de Massabielle ; des foules immenses y viennent du monde entier prier et boire Ă  la source. On y amène les malades que la science humaine a abandonnĂ©s ; quelques-uns sont guĂ©ris miraculeusement; tous sont consolĂ©s et rĂ©confortĂ©s. Les âmes inquiètes retrouvent la paix et le chemin du salut. Lourdes est devenue la capitale de la prière mariale de l’univers.

RĂ©pondant Ă  la dĂ©finition par l’Église du dogme de l’Imma­culĂ©e Conception, Lourdes proclame la nĂ©cessitĂ© pour l’homme d’aujourd’hui de renaĂ®tre de l’eau et de l’esprit pour sortir du paganisme oĂą il s’est laissĂ© de nouveau enliser. Le fait de Lourdes n’est pas seulement un beau poème, il signifie la permanence du surnaturel sur la terre.

Bernadette sera béatifiée le 14 juin 1925 puis canonisée par le Pape Pie XI le 8 décembre 1933.

Son corps, retrouvé intact, repose depuis 1925 dans une châsse en verre dans la Chapelle. Chaque année, venant du monde entier, des milliers de pèlerins et de visiteurs se rendent à Nevers pour accueillir le message de Bernadette.

* * *

Ô Jésus et Marie, faites que toute ma consolation en ce monde soit de vous aimer et de souffrir pour les pécheurs.

Divine Mère, offrez-moi à Jésus. Prenez mon cœur et enfoncez-le dans le cœur de Jésus.

Ă” Marie, ma tendre Mère, voici votre enfant qui n’en peut plus ; faites qu’Ă  votre exemple je sois gĂ©nĂ©reuse dans tous les sacrifices que Notre Seigneur pourra me demander dans le cours de ma vie. Ma Mère, venez Ă  mon aide. Accordez-moi la grâce de mourir Ă  moi-mĂŞme pour ne plus vivre que de mon doux JĂ©sus et pour mon JĂ©sus. Union, union intime avec lui, comme saint Jean, dans la puretĂ© et dans l’amour. Ainsi toute Ă  JĂ©sus, qu’il me sera doux de mourir avec JĂ©sus.

Mon âme, rĂ©jouissez-vous d’avoir un trait de ressemblance avec JĂ©sus : rester cachĂ©e dans l’impuissance.

Porter la Croix cachĂ©e dans mon cĹ“ur Ă  l’exemple de Marie ; oui, j’irai au parloir avec joie quoique mon âme soit dans la tristesse. Je dirai : mon Dieu, j’y vais, mais Ă  condition qu’une âme sortira du purgatoire ou que vous convertirez un pĂ©cheur. Sainte Bernadette

*****

 

Ă” Sainte Bernadette, qui simple et pure enfant, avez dix-huit fois, Ă  Lourdes, contemplĂ© la beautĂ© et reçu les confidences de l’ImmaculĂ©e et qui avez voulu ensuite vous cacher dans le CloĂ®tre de Nevers et vous y consumer en hostie pour les pĂ©cheurs, obtenez-nous cet esprit de puretĂ©, de simplicitĂ© et de mortification qui nous conduira nous aussi Ă  la vision de Dieu et de Marie au Ciel. Amen.

***

Prière de sainte Bernadette

Extrait de ses notes intimes, 1873.

Ă” Marie, ma tendre Mère, voici votre enfant qui n’en peut plus ;

voyez mes besoins et surtout mes détresses spirituelles ;

ayez pitié de moi, faites que je sois un jour au Ciel avec Vous.

Je ferai tout pour le Ciel, c’est lĂ  ma Patrie,

lĂ , je trouverai ma Mère dans tout l’Ă©clat de sa gloire,

et avec Elle je jouirai du bonheur de Jésus Lui-même avec une sécurité parfaite.

Ă” Marie, ma bonne Mère, faites qu’Ă  votre exemple

je sois généreuse dans tous les sacrifices

que Notre-Seigneur pourra me demander dans le cours de ma vie.

Ă” Marie, offrez-moi Ă  JĂ©sus.

Ô ma Mère, prenez mon cœur

et enfoncer le dans le Cœur de mon Jésus. […]

Ô Marie, recevez mon cœur comme une victime expiatoire pour-mes crimes,

brisez-le de douleur.

Ô ma Mère, je Vous fais le sacrifice de toutes les créatures,

afin que mon cœur soit tout à Vous et à mon Jésus.

Ô ma Mère, venez à mon aide,

accordez-moi la grâce de mourir à moi-même

pour ne plus vivre que de mon doux JĂ©sus

et pour mon JĂ©sus.

 

 

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