21 avril saint Anselme, moine du Bec Hellouin, archevêque de Canterbury et 11è docteur de l’église [6 mai 1033 – 21 avril 1109 ]

Saint Anselme, moine du Bec Hellouin,

archevêque de Canterbury et 11è docteur de l’église [6 mai 1033 – 21 avril 1109 ]

Prieur et abbé, il fit de l’abbaye du Bec un centre de véritable réforme pour la Normandie la France et l’Angleterre. De cette abbaye, il exerça une influence durable sur les papes, les rois, les puissances civiles et des Ordres entiers. Devenu primat d’Angleterre, il mena un combat héroïque pour les droits et la liberté de l’Église. Il y perdit ses biens et ses dignités et connut même l’exil. Il se rendit à Rome auprès du pape Urbain Il qu’il soutint au concile de Bari contre les erreurs des Grecs. Ses écrits témoignent de la hauteur de son esprit ainsi que de sa sainteté ; ils lui méritèrent le nom de père de la scolastique.

Saint Anselme est un des vrais réformateurs de l’Église. La vraie réforme commence par soi-même. Saint Anselme se mit le premier à l’école sévère de la mortification. Il était ensuite apte et autorisé à corriger les autres.

Allons, courage ! Fuyons un peu nos occupations, dérobons-nous un moment au tumulte de nos pensées. Rejetons maintenant nos lourds soucis  et laissons de côté nos tracas. Donnons un petit instant à Dieu et reposons-nous un peu en lui. 

Entrons dans la chambre de notre esprit, bannissons-en tout, sauf Dieu ou ce qui peut nous aider à le chercher. Fermons la porte et mettons-nous à sa recherche.

À présent, parle, mon cœur, ouvrons-nous tout entier et disons à Dieu :  Je cherche votre visage ;  c’est votre visage, Seigneur, que je cherche un extrait du Désir de Dieu Avent : Allons, courage ! Saint Anselme du Bec

La fondation de l’Abbaye bénédictine du Bec, (à cette époque dans la diocèse de Rouen) dans la Normandie du XIème siècle, revêt un caractère singulier. Alors que la plupart des monastères fondés à cette époque sont le fruit de dotations des ducs et seigneurs normands, s’inscrivant dans le mouvement de progrès moral qui marqua le règne de Guillaume le Conquérant, c’est à l’initiative personnelle d’un simple chevalier, presque illettré, Herluin, que l’Abbaye, appelée à un si grand rayonnement dans les siècles qui suivirent, va voir le jour.

Herluin naquit à Brionne vers 995. De famille noble mais orphelin très tôt, il fut initié au maniement des armes à la cour du comte de Brionne, Gilbert de Brionne, son suzerain. Il s’y distingua par sa loyauté, mais vers l’âge de 37 ans, nous rapporte son biographe Gilbert Crespin il sentit la grâce de Dieu touchée son cœur, il se détacha progressivement des habitudes mondaines et commença à mener une vie de renoncement. Après trois années de cette vie il demanda à son suzerain de lui rendre sa liberté pour réaliser pleinement ses aspirations à une vie de retraite. Possédant une portion du territoire de Bonneville, sur le plateau septentrional de la vallée du Bec, Herluin s’y retira en 1034 et y construisit un premier établissement, fort modeste, où il partageait son temps partagée entre le travail et la prière. Très vite attirés par son renom de sainteté, plusieurs compagnons se joignirent à lui, et, en 1035, l’évêque de Lisieux pouvait consacrer une première chapelle en l’honneur de Notre-Dame et donner à Herluin la tonsure, l’habit monastique, le sacerdoce et la qualité d’abbé de moines selon la règle de saint Benoît. De ce premier établissement, il ne reste rien.

Le manque d’eau obligea Herluin et ses compagnons à redescendre, vers 1039, dans la vallée, au confluent du Bec et de la Risle, à Pont-Authou, où une seconde église fut consacrée en 1041 par l’archevêque de Rouen.

Ils demeurèrent près de vingt ans en ce lieu fort marécageux.

Pour seconder Herluin parti à la recherche des finances nécessaires, et pour faire face à la querelle des moines, dit-on, en son absence, la Providence lui envoya deux Italiens, le bienheureux Lanfranc de Pavie et saint Anselme d’Aoste, dont les mérites et la science ont fait la gloire de l’abbaye du Bec et, il faut le dire, éclipsé celle du fondateur. Lanfranc devenu prieur de l’Abbaye fonda en 1045, l’école du Bec, il y enseignait aux jeunes religieux et aux oblats les arts libéraux, c’est-à-dire le trivium [ grammaire, rhétorique, dialectique ] et le quadrivium [ arithmétique, géométrie, musique et astronomie ]. On accourait de partout pour suivre son enseignement et l’école devint vite célèbre dans toute l’Europe. Quelques figures notables la fréquenteront, tels Yves de Chartres ou le futur pape Alexandre II [ 1061-1073].

Mais c’est surtout avec l’arrivée d’Anselme que cette institution se développera. Anselme naquit le 6 mai 1033 [ l’année de la consécration de la première chapelle construite par Herluin], de famille noble et fortunée. Il est aussi parfois nommé Anselme d’Aoste, ou Anselme du Bec ou Anselme de Canterbury selon qu’on veut insister sur son origine valdôtaine ou sur sa longue présence en France (1059-1093) ou en Angleterre. De fait, Aoste faisait partie intégrante du domaine de la Maison de Savoie constitué en 1032, maintenant faisant partie du Piémont. Sa mère lui apprit à aimer Dieu de bonne heure. A quinze ans, à la mort de sa mère, il frappa à la porte d’un monastère ; mais craignant le courroux de son père (mondain et intraitable, qui le contraignait à mener une vie mondaine), les religieux repoussèrent le postulant. Sa mère étant morte, « le vaisseau de son cœur perdit, avec elle, son ancre, et se laissa emporter aux flot du siècle ». Il s’enfuit en France, pour poursuivre ses études, puis vint sur les conseils de Maurille Archevêque de Rouen, les compléter à l’abbaye du Bec, mais également attiré par le brillant Lanfranc.

Anselme avait atteint 27 ans et n’avait encore adopté aucun genre de vie. Il se décida alors à quitter le monde et à embrasser la vie religieuse au Bec. Sa régularité, son aménité et sa science très étendue le firent bientôt élire prieur, puis abbé de cette célèbre abbaye, à laquelle il procura une grande prospérité.

Sous l’impulsion successive des deux hommes, qui donneront à l’abbaye ses lettres de noblesse, la nouvelle fondation va s’accroître si considérablement, qu’il faudra, vers 1060, transférer l’abbaye pour la seconde fois sur un emplacement moins humide, plus proche de la source du Bec et beaucoup plus vaste. Une nouvelle église fut également bâtie et consacrée en 1077 par Lanfranc.

Après la bataille d’Hasting en 1066, Guillaume le Conquérant eut besoin d’hommes dignes de confiance pour établir son pouvoir outre-Manche. Le nouveau roi d’Angleterre fit appel à Lanfranc en 1070 pour devenir archevêque de Canterbury. Pendant près de vingt ans, le nouvel archevêque entreprit une réforme en profondeur de l’Eglise anglo-saxonne.

Guillaume fera aussi appel aux moines normands pour le seconder dans son entreprise. En échange, ils recevront des bénéfices ecclésiastiques, évêchés ou abbayes, dans les territoires ainsi conquis. Dès lors, les possessions anglaises se développeront jusqu’à atteindre vingt-cinq prieurés avec leurs dépendances. Il en ira de même dans le royaume de France, où près d’une vingtaine de prieurés relèveront au siècle suivant de l’Ordre du Bec. Citons entre autres : Conflans, Pontoise, Meulan, Beaumont-le-Roger, Saint Ymer, etc…

Cassé de vieillesse, le vieil abbé Herluin déclinait. Il eut cependant la consolation de voir Lanfranc, devenu entre-temps archevêque de Canterbury, consacrer l’église du nouveau monastère. Ce fut une magnifique solennité, suivie d’un festin non moins magnifique, rapporte la chronique.

Herluin rendit son âme à Dieu le 26 août 1078 Des obsèques très solennelles et dignes d’un tel abbé lui furent faites. Il fut enterré dans la salle capitulaire, sous une dalle de marbre noir, qui émigra à l’église paroissiale à la Révolution. Il est revenu à son emplacement avec le retour des moines au Bec, son corps se trouve actuellement au centre de la chapelle du monastère. Sa fête est inscrite au Martyrologe au 26 août. A la mort d’Herluin, Anselme, alors prieur claustal, lui succède comme abbé (1078-1093). Son prestige était tel et ses vertus si aimables que les plus grands personnages désirèrent l’avoir pour ami. Confesseur de Guillaume le Conquérant à la fin de sa vie, les papes Grégoire VII et Urbain II le mandaient également à Rome.

L’Angleterre était alors gouvernée par le fils de Guillaume le Conquérant, Guillaume le Roux, le plus brutal et le plus impie des tyrans. Usurpateurs des biens de l’Eglise, il laissait les évêchés vacants, pour en accaparer les revenus ; ainsi, il y avait quatre ans qu’il refusait de pourvoir au siège primatial de Canterbury (qui assurait la primatie dans l’État plantagenêt), lorsque tombé gravement malade, et croyant sa fin prochaine, il se résigna à accepter l’abbé du Bec comme titulaire de ce siège. Anselme avait alors soixante ans et n’aspirait qu’à finir ses jours au milieu de ses frères et de ses livres ; bien qu’à contre-cœur et avec la permission des moines du Bec, il accepta cependant de se jeter aux milieu des combats [1093].

Anselme, archevêque de Canterbury et primat d’Angleterre

Les heurts ne tardèrent pas à ce produire entre Guillaume revenu à la santé, et le défenseur des droits de l’Eglise. Pour briser la résistance le roi imagina de faire déposer Anselme, et il trouva des évêques pour appuyer ses vues ; toutefois, il n’osa pas aller jusqu’au bout. Anselme ayant manifesté sa volonté d’aller à Rome prendre les avis du pape, le prince dit alors : «  s’il va à Rome, Canterbury est à moi ! ». En attendant, le passage d’Anselme à travers la France fut une vraie marche triomphale [1097]. Et à Rome, Urbain II le reçut avec des honneurs extraordinaires. Au retour, Anselme se retira auprès de son ami Hugues de Bourgogne, archevêque de Lyon.

La mort de Guillaume le Roux, frappé à la chasse par une flèche qui lui traversa le cœur, vint mettre fin à l’exil d’Anselme. Henri Ier, surnommé Beau-Clerc, rappela l’archevêque exilé, mais continua la politique religieuse de son prédécesseur. Il commença par exiger des évêques qu’ils reconnussent tenir de lui leur autorité tout entière, ecclésiastique aussi bien que civile. Se conformant aux directive du pape, Anselme s’y refusa. Sous le fallacieux prétexte de négocier avec le pape, Henri envoya alors Anselme en ambassade à Rome. A son retour à Lyon, il reçu du roi la défense de rentrer en Angleterre. Cependant, en présence d’une menace excommunication, le roi céda : il renonça à son prétendu droit d’investiture, rappela Anselme et se réconcilia sincèrement avec lui, au point de lui confier le gouvernement pendant ses absences. (concile de Londres, 1106)

Quatre ans après son retour, le saint archevêque allait recevoir la récompense de ses vertus et de ses combats. Le mardi saint 1109, il ne pouvait plus parler ; selon l’usage monastique, on l’étendit sur la cendre et, à l’aurore du mercredi 21 avril, il rendit son âme à Dieu. Il était âgé de 76 ans.

Son tombeau se trouve dans la cathédrale de Canterbury. On le représente en évêque et docteur de l’Église, contemplant l’apparition du Christ et de la Sainte Vierge.

Epilogue

En tant qu’archevêque de Canterbury, il imposera la réforme grégorienne, transférera les investitures à Rome et donnera à l’Église d’Angleterre la direction que suivra Thomas Beckett.[]

Le « docteur magnifique », fut une figure considérable du XIème siècle, il fut un des plus grands écrivains mystiques de l’Occident médiéval, et considéré parfois comme le véritable fondateur de la pensée et de la méthode scolastiques défendues par Abélard et couronnées par Thomas d’Aquin, outre de son charisme propre, il a laissé un grand nombre d’ouvrages philosophiques et théologiques. La doctrine de saint Anselme est attirante : il fait le lien entre le dogme et la piété.

Il signait ses lettre « frère Anselme, par la vie pécheur, par le vêtement moine, par l’ordre ou la permission de Dieu appelé évêque de Canterbury ».

Aujourd’hui encore, sa pensée continue de nourrir la réflexion.

Canonisé en 1494, Anselme du Bec, par la composition de ses savants ouvrages, fût proclamé docteur de l’Eglise en 1720 par Clément XI.

Aujourd’hui, majestueuse et paisible, l’abbaye du Bec étend ses splendides bâtiments au fond de la vallée du Bec, cette petite rivière qui lui a donné son nom. Depuis Herluin, bienheureux Lanfranc et saint Anselme commença une lente succession de constructions de destructions, d’agrandissements divers, dont les bâtiments actuels ne sont que la dernière étapes réalisée pour sa plus grande partie aux XVIIème et XVIIIème siècles. Rendue à sa vocation première depuis 1948 avec l’arrivée d’un groupe de moines, elle demeure propriété de l’Etat, et c’est à ce titre que de très importants travaux de restauration ont été effectués depuis cinquante ans, permettant ainsi à la communauté de faire pleinement revivre les lieux.

ROME, Mardi 21 avril 2009 : Benoît XVI salue Saint Anselme à l’occasion du 900è anniversaire de sa mort. Les enseignements de saint Anselme de Cantorbury renferment un « trésor de sagesse » utile aux hommes d’aujourd’hui, spécialement aux Européens, souligne Benoît XVI.

Benoît XVI mentionna aussi le Collège Saint-Anselme de Rome, sur l’Aventin, fondé par le pape Léon XIII, conservant et promouvant les enseignements fondamentaux de la vie monastique, pour former des jeunes du monde entier. Pour le saint Père, ce collège est devenu un institut académique international qui offre une formation philosophique, théologique, et liturgique, en alliant – comme saint Anselme l’a fait – la foi et la connaissance de la foi, grâce à l’intelligence.

*****

La Vierge Marie n’est pas pour lui simplement un thème théologique, il l’aime et la vénère comme une personne réelle et proche de son cœur, collaboratrice maternelle et nécessaire à notre relation avec le Christ rédempteur. Dans son enseignement, le Christ et Marie s’éclairent mutuellement.

Il convenait que cette Vierge à qui le Père se disposait à donner son Fils unique, ce Fils engendré de son cœur, égal à lui et qu’il aime comme lui-même, qu’il voulait lui donner de sorte qu’il fût naturellement un seul et même Fils, commun à Dieu et à la Vierge, il convenait que cette Vierge fût ornée de la plus haute sainteté qui se puisse concevoir après celle de Dieu.

Que vos entretiens soient toujours purs et qu’ils roulent sur Dieu ; prenez modèle sur les anges du ciel. Hormis les soins qu’exige la fragilité de la nature humaine, pour vivre toujours dans le ciel (a), considérez et imitez en tout la vie des anges. Que cette contemplation soit votre maîtresse, que cette considération soit votre règle.

Poursuivez ce qui s’harmonise avec la vie angélique ; détestez ce qui s’en éloigne. Songez que vos anges, – comme l’a déclaré le Seigneur : “vos anges contemplent sans cesse le visage de mon Père” (b) – vous sont toujours présents et qu’ils considèrent vos actions et vos pensées (c), et prenez soin de toujours vivre comme si vous expérimentiez sensiblement leur présence.

Je ne cherche pas à comprendre afin de croire,

mais je crois afin de comprendre.

Car je crois ceci — à moins que je ne croie, je ne comprendrai pas[]

La foi ne s’oppose pas à la raison mais la fonde.

Hymne des premières vêpres

Evêque intrépide, moine fidèle,

docteur Couronné de lauriers,

voici Anselme :

notre chœur en fête rivalise pour le chanter.

Déjà sage avant l’âge,

il méprise la fleur de ce Monde périssable,

Et sans attendre, entre au cloître

Pour recevoir l’enseignement de Lanfranc

Cherchant à pénétrer les secrets intimes du Verbe,

il est porté sur les ailes d’une foi inébranlable :

Qui s’est abreuvé plus intensément aux sources pures des dogmes ?

La sainte liberté,

que le Christ a donnée à ses brebis sauvées

et qu’il préfère à tout,

presse Anselme : il la défend fermement.

En protecteur attentif,

qu’il se souvienne sans cesse de nous

devant la Sainte Trinité,

que tous adorent partout d’une louange sans fin.

Hymne à vêpres

Vénérable docteur, notre chœur joyeux

vous chante par ses louanges et ses vœux :

avec raison nous mettons en vous

notre gloire, Saint compagnon.

Père saint, investi de la charge d’abbé,

vous vous dévouez à votre chère famille,

portant avec bonté les faibles sur vos épaules,

vous encouragez les fervents en les devançant.

Un roi vous offre un siège épiscopal ;

pourquoi craindre la lutte ?

Voici les victoires, exilé courageux,

vous portez la lumière aux peuples étrangers.

Pasteur, votre renommée atteint Rome :

le souverain pontife vous honore,

la foi vous appelle : les pères se sont tus,

défendez la vérité.

Souvenez-vous de votre saint troupeau,

soyez son patron près de l’éternelle Trinité,

que tous les siècles célèbrent partout

de leurs Saintes louanges.

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Messes du 18 au 24 mars 2024

Semaine 11

Lundi 18 mars – S. Cyrille de Jérusalem, évêque et docteur de l’Église

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  • Messe à l’église de La Madeleine à 18:30

Mercredi 20 mars – de la férie

  • Messe à l’église de Bourth à 10:00 avec les enfants du catéchisme
  • Centre Bethléem de 15:00 à 16:00 – Réunion catéchisme
  • Eglise de Pullay à 17:00 – Chemin de Croix
  • Messe à l’église de Pullay à 18:00

Jeudi 21 mars – de la férie

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  • Messe à l’église des Bottereaux à 18:00
  • Presbytère de Rugles à 20:00 – Bol de riz

Vendredi 22 mars – de la férie

Abstinence

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  • Eglise de La Madeleine à 12:30 – Chemin de Croix
  • Eglise de La Madeleine à 17:30 – Adoration
  • Messe à l’église de La Madeleine à 18:30

Samedi 23 mars – S. Turibio de Mogrovejo, évêque

  • Eglise de La Madeleine à 9:15 – Laudes
  • Messe à l’église de La Madeleine à 9:30
  • Messe à l’église de Cintray à 18:00

Dimanche 24 mars – Dimanche des Rameaux et de la Passion du Seigneur

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Semaine 10

Lundi 11 mars – de la férie

  • Messe à l’église de La Madeleine à 18:30
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Mardi 12 mars – de la férie

  • Centre Bethléem de 16:30 à 18:30 – Patronage
  • Messe à l’église de La Madeleine à 18:30

Mercredi 13 mars – de la férie

11ème anniversaire de l’élection de sa Sainteté le pape François

  • Centre Bethléem de 14:30 à 16:00 – Rencontre des enfants chœurs et des enfants de Marie
  • Presbytère de Bourth à 16:30 – Aumônerie 6e
  • Eglise de Bourth à 17:00 – Chemin de Croix
  • Eglise de Damville de 17:30 à 18:30 – Chapelet et confession
  • Messe à l’église de Bourth à 18:00

Jeudi 14 mars – de la férie

  • Eglise de St Antonin de Sommaire à 17:00 – Chemin de Croix
  • Messe à l’église de St Antonin de Sommaire à 18:00

Vendredi 15 mars – de la férie

Abstinence

  • Eglise de La Madeleine à 11:15 – Chapelet de la confrérie
  • Eglise de La Madeleine à 12:30 – Chemin de Croix
  • Messe à la maison de retraite Korian – Rugles à 15:00
  • Eglise de La Madeleine à 17:30 – Adoration
  • Eglise de Chaise-Dieu du Theil de 18:00 à 19:00 – Groupe de prière
  • Messe à l’église de La Madeleine à 18:30
  • Centre Bethléem de 20:00 à 21:30 – Préparation Baptêmes

Samedi 16 mars – de la férie

  • Eglise de La Madeleine à 9:15 – Laudes
  • Messe à l’église de La Madeleine à 9:30
  • Centre Bethléem de 10:00 à 11:00 – Rassemblement aumônerie
  • Messe à l’église de Francheville à 18:00
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Dimanche 17 mars – 5ème Dimanche de Carême

  • Messe à l’église St Germain de Rugles à 9:15
    • Quête impérée C.C.F.D. – Terre Solidaire
  • Centre Bethléem de 9:30 à 10:30 – Préparation 1ère communion
  • Messe à l’église de La Madeleine à 11:00
    • Quête impérée C.C.F.D. – Terre Solidaire
  • Eglise de La Madeleine à 16:00 – Vêpres et confession