4 novembre – Saint Charles Borromée, archevêque de Milan (2 octobre 1538, 4 novembre 1584).

Saint Charles Borromée, archevêque de Milan (2 octobre 1538, 4 novembre 1584).

Né à Milan en 1538, S. Charles Borromée fut un des hommes d’Église les plus éminents du XVIe siècle. Cardinal à 21 ans et secrétaire d’État de son oncle le pape Pie IV.

Fils cadet d’une noble famille italienne, il avait tout pour se laisser entraîner dans une vie facile et fastueuse. Neveu d’un pape, nommé cardinal, il est submergé de charges honorifiques très lucratives : son revenu annuel était de 52.000 écus. Il reçoit les revenus du diocèse de Milan, des abbayes de Mozzo, Folina, Nonatella, Colle et de quelques autres légations : Bologne, Spolète, Ravenne, etc … Il reste laïc, grand amateur de chasse et de musique de chambre. Mais la conscience de son devoir est telle qu’il s’impose dans la vie mondaine et brillante de Rome, par sa rigueur et son travail.

Il eut sur le concile de Trente une influence décisive, et sut obtenir de son oncle, le pape Pie IV, la réforme de l’Église, universellement réclamée. De toute son énergie il s’appliqua à la mettre en œuvre au lendemain de la crise protestante. Devenu archevêque de Milan, il érigea le premier de tous les séminaires. Il déploya un zèle extraordinaire et renouvela pour ainsi dire les méthodes pastorales. Il tint des synodes et des conciles, établit des séminaires et des communautés de prêtres, réforma les monas­tères, fonda des asiles pour les pauvres et les orphelins. La création des séminaires diocésains devait se révéler singulièrement féconde pour l’Église. S. Charles Borromée mourut le à l’âge de quarante-six ans le 4 novembre 1584. Il réalisa le modèle de l’évêque proposé par le Concile de Trente.

Pour éclairer, la chandelle doit se consumer,

dit-il à ceux qui lui prêchent le repos.


« 
Charles Borromée vécut dans une période difficile pour le christianisme, une époque sombre parsemée d’épreuves pour la communauté chrétienne, pleine de divisions et de convulsions doctrinales, d’affaiblissement de la pureté de la foi et des mœurs, de mauvais exemples de la part du clergé. Mais il ne se contenta pas de se lamenter ou de condamner. Pour changer les autres, il commença par réformer sa propre vie…

Il était conscient qu’une réforme crédible devait partir des pasteurs et pour y parvenir il eut recours à la centralité de l’Eucharistie, à la spiritualité de la croix, à la fréquence des sacrements et à l’écoute de la Parole, à la fidélité envers le Pape, toujours prompt à obéir à ses indications comme garantie d’une communion ecclésiale, authentique et complète. 

C’est de l’Eucharistie, cœur de toute communauté, qu’il faut tirer la force d’éduquer et de combattre pour la charité. Toute action charitable et apostolique trouve force et fécondité dans cette source » Benoît XVI

*****

Sa jeunesse

La famille Borromée occupait un rang très honorable dans la no­blesse lombarde et était alliée aux plus grandes familles du nord de la péninsule. Son chef avait le titre de comte et possédait le fief d’Arona, sur le lac Majeur. Au seizième siècle, elle était représentée par Gilbert, homme de noble caractère et surtout de grande piété. Il avait épousé Marguerite de Médicis, dont le frère devint le futur pape Pie IV. Charles naquit au sein de l’opulence et des grandeurs le 2 oc­tobre 1538 sur la rocca (roc ou château fort) Borromeo d’Arona, près du lac Majeur ; un frère et une sœur, Frédéric et Isabelle, l’avaient précédé en ce monde.

Paul III étant pape,

Charles-Quint empereur

et François Ier roi de France

Il devait être l’un des plus illustres pontifes de l’Église dans tous les temps.

L’enfant, était doux et sérieux. L’appel de Dieu se manifesta de très bonne heure et un peu par la force des choses. Selon les coutumes du temps, le droit d’aînesse établissait Frédéric héritier des biens et des titres de Gilbert. Il ne restait à Charles qu’à chercher fortune, ou à em­brasser l’état ecclésiastique. C’est à cette dernière solution qu’on s’ar­rêta ; il fut tonsuré à huit ans. Cette cérémonie faisait de lui un clerc et le rendait apte à recevoir les dignités ecclésiastiques ; cinq ans après, son oncle lui cédait une abbaye.

Son esprit lent et positif ne le disposait guère aux études littéraires. A vingt et un ans, il put cependant être proclamé docteur en droit canon et en droit civil, in utroque jure, à l’Université de Pavie. Mais ses goûts personnels le portaient plus vers la musique, l’architecture, les échecs, la chasse, que vers la théo­logie.

A Rome

Le 26 décembre 1559, survint un événement qui allait donner à sa vie une nouvelle orientation. Ce jour-là, son oncle, le cardinal Ange de Médicis, était élu pape sous le nom de Pie IV : dès le 6 janvier, il appelait son neveu à Rome, et le 31 suivant, il le nommait cardinal des Saints-Guy-et-Modeste. Le 8 fé­vrier, Charles était légat de Bologne, de la Romagne et des Marches, et administrateur de l’Eglise de Milan, en attendant qu’il eût l’âge d’en de­venir archevêque.

Restait à achever le concile de Trente, ouvert en 1545. Pie IV y réussit en 1562-1563, grâce au dévouement de son neveu, qui assuma l’écrasante besogne de la correspondance avec les agents du Saint-Siège, nonces et légats du concile. Plutôt simple exécutant que conseiller, selon un ambassadeur vénitien, il travaillait même la nuit, rédigeait de brefs rapports sur les nouvelles qui lui arrivaient de partout, répondait à toute la correspondance pontificale et s’occupait des affaires courantes.

En novembre 1562, quand mourut Frédéric, son frère aîné, on se demanda si le Charles quitterait les Ordres pour perpétuer la famille, mais, le 17 juillet 1563 il fut ordonné prêtre et, en décembre, il reçut la consécration épiscopale. Charles était alors âgé de vingt-cinq ans. Dès ce jour, il commence à s’éloigner du monde et à retrancher de sa vie les divertissements. Sans la défense expresse du pape Pie IV, il aurait quitté Rome pour s’installer dans son diocèse.

 

A Milan

Après que Charles Borromée avait rendu à Rome les services que l’on attendait de lui, fort du concile de Trente qui imposait la résidence aux évêques, il voulut s’installer à Milan où il entra solennellement 23 septembre 1565, après avoir, comme légat, effectué un voyage au centre et au nord de l’Italie. Il dut revenir à Rome près de son oncle mourant et, le conclave ayant élu Pie V, il rentra à Milan en avril 1566, pour se livrer exclusivement à ses devoirs d’archevêque. Saint Pie V lui témoigna d’autant plus d’estime et de confiance qu’il était fort lié à Séraphin Grindelli, chanoine régulier du Latran et son aumônier.

Le cardinal de Milan, passa désormais le reste de sa vie dans son vaste archidiocèse, à l’exception de brefs séjours romains. Charles Borromée, à la tête de quinze suffragants, avec juridiction sur des terres vénitiennes, génoises, novaraises et aussi suisses, puisqu’il avait été nommé, en mars 1560, protecteur de la nation helvétique, avec juridiction spirituelle sur plusieurs cantons ; il n’obtint un nonce que sous Grégoire XIII. Charles Borromée visita la Suisse (notamment les trois vallées ou trois lignes du Tessin en 1567, les cantons allemands en 1570, 1581, 1583), s’enquérant des abus, rédigeant des ordonnances, entretenant une lourde correspondance, se bataillant contre des magistrats et des fonctionnaires civils souvent revêches, tandis qu’il restait courtois, souple et habile. En général, il se montra fin connaisseur et manieur d’hommes, sa vertu perfectionnait ses dons naturels. Il lui arrivait cependant de se raidir, par exemple contre l’usage invétéré de suspendre dans les églises des écussons et trophées en mémoire de hauts faits militaires, allant jusqu’à lancer l’interdit contre des paroisses récalcitrantes, mais un ordre exprès de Rome l’obligea à désarmer. Il réussit à maintenir catholique une partie de la Suisse allemande, il favorisa les capucins à Altdorf en 1581 et les jésuites, dont les collèges de Lucerne et de Fribourg sont en partie le fruit de son zèle.

Si la richesse avait alors gâté dans la chrétienté une partie du haut clergé, la pauvreté avait avili le bas clergé, victime d’un recrutement inconsidéré, de l’abandon où le laissaient ses supérieurs et de l’ignorance. L’Eglise avait pâti, et pâtissait encore, en ce temps-là, des empiétements parfois scandaleux du civil sur l’ecclésiastique dans les territoires espagnols, et même dans les Etats pontificaux. Les évêques avaient trop pris l’habitude de vivre hors de leur diocèse, et le clergé volontiers flattait le pouvoir civil pour en tirer des avantages matériels. Aussi, d’importantes réformes s’imposaient dans les rangs du clergé et dans les monastères ; mais elles n’étaient pas désirées. Aussi ceux qui ne voulaient pas se laisser réformer, allèrent jusqu’à attenter à la vie de l’arche­vêque ; ce n’est que par miracle qu’il échappa à l’attentat dont il fut l’objet. Saint Charles reçut un jour d’un ennemi, un coup d’arquebuse, pendant qu’il présidait la prière dans sa chapelle particulière ; par une protection providentielle, la balle ne fit que lui effleurer la peau, et le Saint continua la prière sans trouble. Son œuvre à Milan fit époque ; il institua des séminaires, fit ré­diger le Catéchisme du Concile de Trente, appela de nombreux religieux pour remplacer les curés empêchés, administrer les séminaires, ou prê­cher.

Il soigne lui-même les pestiférés quand la peste ravage Milan en 1556. Il demande à tous les religieux de se convertir en infirmiers et six mois durant, l’archevêque fut l’unique providence des pauvres et des mourants. Il pourvut à tous les besoins temporels et spirituels, s’occupa d’hygiène, soutint les courages et excita les dévouements, portant lui-même les sacrements aux mourants.

Véritable médiateur, il implorait jour et nuit le pardon divin en d’humbles prières devant le trône de la grâce. Ayant ordonné une procession publique d’expiation, il y parut la corde au cou, les pieds nus et ensanglantés, une croix sur les épaules, s’offrant en victime expiatoire pour son peuple afin de détourner de lui la justice divine. Lorsque la maladie cessa, après avoir fait dix-sept mille victimes, on put dire que la ville de Milan devait à son archevêque l’existence des survi­vants et le salut éternel des morts.

Ce grand seigneur vivait comme un anachorète. Après avoir donné presque toute sa fortune aux pauvres, il voulut ne posséder qu’une sou­tane usée, n’avoir qu’une paillasse pour lit et ne faire qu’un repas par jour, souvent avec un peu de pain et de l’eau. Mais surtout, il était doux et humble : jamais il ne lui échappait un mot d’amertume. Il rece­vait les injures et les persécutions avec une paix et une tranquillité que rien n’était capable d’altérer.

Les années passent et malgré le poids des années, il n’arrête pas de se donner jusqu’à l’épuisement, ne voulant pas s’interrompre pour se soigner, disant : « Les pauvres doivent gagner leur pain de chaque jour. »

Dans une lettre d’Arona, datée du 1er novembre, il disait que la fièvre le dévorait et qu’il allait cesser ses visites pastorales pour regagner Milan afin de recevoir son beau-frère le comte Annibal d’Altaemps et lui faire fête quatre ou cinq jours. Il venait d’inaugurer un séminaire (30 octobre) et de consoler les gens de Locarno où la peste avait fait passer la population de 4800 à 700 habitants.

S’étant retiré au Sacro Monte de Varallo pour méditer sur la Passion de Notre Seigneur, Saint Charles, affaibli par les mortifications, tomba malade. Ramené en litière et atteint d’une forte fièvre jusqu’à Milan et y arriva le 2 novembre 1584 au soir. Le lendemain, il reçut les derniers sacre­ments et expira la nuit suivante couché sur un sac et sur la cendre, tenant en ses mains le crucifix. En mourant, il prononça ces paroles : « Seigneur, voici que je viens ; je viendrai bientôt. »

Regardez mon âme comme vous étant toute confiée, ô mon très tendre Gardien ; et au sortir de la prison de mon corps, daignez la remettre entre les mains de son Créateur et Rédempteur, afin qu’avec vous et avec tous les saints du ciel, elle puisse jouir de sa présence, l’aimer parfaitement et le posséder pleinement pendant toute l’éternité. Amen.

Epilogue

Il n’était âgé que de quarante-six ans.

Son tombeau est dans la célèbre cathédrale de Milan, construite en marbre blanc.

Grégoire XIII étant pape,

Rodolphe II empereur

et Henri III roi de France.

Le 4 novembre 1601, à Milan, au lieu de chanter le service accoutumé pour son anniversaire, on organisa, sur le conseil de Baronius, une grandiose manifestation de vénération publique. En 1602, et les années suivantes, ce témoignage fut de plus en plus éclatant. Béatifié en 1602, le 1er novembre 1610 le pape Paul V canonisa Charles Borromée qui obtint vite un culte populaire : son origine patricienne, sa dignité cardinalice, son génie réformateur, les œuvres de son zèle pastoral pour le clergé et le peuple, sa charité pour les pauvres, son dévouement lors de la peste le redirent rapidement cher au peuple chrétien, notamment aux Pays-Bas espagnols où l’imagerie anversoise vulgarisa l’homme de prière ou le consolateur des pestiférés. Son influence fut très grande en France.

Le 4 novembre est une fête de 3ème classe dans l’église universelle mais de 1ère classe dans les paroisses dont il est le saint patron.

En 1910 le pape Saint Pie X publia l’encyclique Editae Saepe, célébrant la mémoire de Saint Charles.Saint

Saint Charles Borromée est le saint patron des séminaristes et des directeurs spirituels. 

On le représente en archevêque, une corde au cou, bénissant des malades.

Son blason portait : Humilitas.

Au physique, il était de belle taille, avec de vastes yeux bleus, un nez aquilin puissant, le teint pâle sous des cheveux bruns ; jusqu’en 1574, il porta une barbe courte, rousse, négligée ; puis, ayant ordonné au clergé de se raser, il donna l’exemple.

Charles Borromée créa des sanctuaires devenus célèbres, des séminaires, des collèges laïcs, un refuge pour repenties, un mont-de-piété. Il avait revu soigneusement les premiers statuts du mont-de-piété de Rome, vers 1565, en qualité de protecteur de l’ordre franciscain. Il fit adopter des sages mesures de contrôle contre la fraude ou les malversations : il fut le bienfaiteur de l’institution. Il organisa des confraternités comme celles du Saint-Sacrement, du Saint-Rosaire. Il mit beaucoup d’ardeur à promouvoir l’œuvre catéchétique du saint prêtre Castellino da Castello. Lui-même commentait volontiers l’Evangile : par les moyens les plus simples, il en tirait des applications très variées pour ses auditeurs et, par son exemple, il sut réveiller chez son clergé le goût de l’éloquence sacrée. Avec un grand dévouement, il visita les peuples de son diocèse et des diocèses suffragants ; comme les vivres étaient chers, il avait stipulé que l’entretien de sa suite ne serait pas à la charge de la mense épiscopale. Au total, le cardinal vit plus de mille paroisses, convoqua onze synodes diocésains et six conciles provinciaux. Lors de la terrible peste de 1576-1577, compliquée d’une famine, Charles Borromée vendit sa principauté napolitaine d’Oria pour soulager la misère publique.

 

Successeur de Saint Ambroise, vous fûtes l’héritier de son zèle pour la maison de Dieu. Votre action fut puissante aussi dans l’Eglise, et vos deux noms, à plus de mille ans d’intervalle, s’unissent dans une commune gloire. Puissent de même s’unir au pied du trône de Dieu vos prières au profit de nos temps amoindris ; puisse votre crédit au Ciel nous obtenir des chefs dignes de continuer, de reprendre au besoin, votre oeuvre sur terre ! Elle éclata de vos jours en pleine évidence, cette parole des Saints Livres : « tel le chef de la cité, tels sont les habitants », et cette autre encore : « j’enivrerai de grâce les âmes sacerdotales et mon peuple sera rempli de mes biens, dit le Seigneur ».

Dom Guéranger

* * *

Les ministres du Seigneur doivent être la lumière du monde et le sel de la terre, par leur doctrine et leurs exemples.

Mais il faut aussi de la part des fidèles le désir d’être instruits des vérités de la foi, et le cou­rage d’en pratiquer les préceptes. Faute de cet accord, la mission de l’Eglise reste sans succès.

Ange saint qui adorez toujours la face du Père éternel, comme vous la voyez toujours ; puisque sa bonté suprême vous a commis le soin de mon âme, secourez-la sans cesse par sa grâce, éclairez-la dans ses ténèbres, consolez-la dans ses peines, échauffez-la dans ses froideurs, défendez-la dans ses tentations, gouvernez-la dans toute la suite de sa vie.

Daignez prier avec moi ; et parce que mes prières sont froides et languissantes, embrasez-les du feu dont vous brûlez, et portez-les jusqu’au trône de Dieu pour les lui offrir.

Faites par votre intercession que mon âme soit humble dans la prospérité et courageuse dans l’adversité ; qu’elle s’anime dans la ferveur de sa foi et par la joie de son espérance, et que, ne travaillant dans cet exil qu’à avancer vers sa céleste patrie, elle aspire de plus en plus, par les gémissements d’un ardent amour pour Jésus son Sauveur, à l’adorer éternellement, et à jouir enfin avec vous, dans la compagnie de tous les saints Anges, de cette gloire ineffable qu’il possède dans tous les siècles. Ainsi soit-il.

Saint Charles Borromée

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