La vie chrétienne est « simple » : écouter la Parole de Dieu et la mettre en pratique, en ne se limitant pas à « lire » l’Evangile, mais en se demandant de quelle façon ses paroles parlent à notre propre vie.
Les paroles qu’il prononçaient semblaient nouvelles, comme était « nouvelle » l’autorité de celui qui les prononçait. Des paroles qui touchaient les cœurs et dans lesquelles tant de personnes percevaient « la force du salut » qu’elles annonçaient. C’est pour cela que les foules suivaient Jésus, a fait observer le Pape François. Mais il y avait aussi ceux qui le suivaient « par commodité », pas vraiment par pureté de cœur, peut être seulement par « envie d’être meilleurs ». En deux mille ans, ce scénario n’a pas trop évolué, a reconnu le Pape. Aujourd’hui encore beaucoup écoutent Jésus comme ces neuf lépreux de l’Evangile qui, « heureux » d’avoir recouvré la santé, « oublièrent Jésus » qui la leur avait redonnée :