Dans son discours vendredi 25 septembre aux Nations unies, le pape François a reconnu la nécessité de l’ONU et d’institutions internationales, tout en critiquant une gouvernance oublieuse des « femmes et hommes concrets ».
Le pape a réaffirmé les droits universels à assurer de sorte qu’ils ne perdent jamais de vue la sacralité de chaque vie et de la nature créée.
« Sacralité de chaque vie humaine », « sacralité de la nature créée. » Le pape François a donné les clés de leur « juste compréhension » dans un discours de près d’une heure vendredi 25 septembre au siège des Nations unies, à New York. Une longue allocution prononcée dans son espagnol natal dans laquelle il a réaffirmé les droits universels tels que l’Église catholique les conçoit au regard de cette double sacralité.