Les attaques des 7, 8 et 9 janvier ont donné lieu à une déferlante d’émotion et de protestations comme en atteste l’immense manifestation du 11 janvier. Le slogan « je suis Charlie », s’il témoigne d’une légitime et belle solidarité avec les victimes des tueries, est cependant jugé réducteur par bon nombre d’éditorialistes et blogueurs catholiques.