Alors que son déplacement à un autre moment de la messe était évoqué, la Congrégation pour le culte divin le maintien avant la communion mais entend en corriger les « abus ».
Le geste de paix de la messe restera donc après le Notre Père et avant la fraction du pain. L’idĂ©e de le dĂ©placer avait Ă©tĂ© Ă©voquĂ©e lors du Synode des Ă©vĂªques sur l’eucharistie, en octobre 2005 Ă Rome, Ă la suite du cardinal Joseph Ratzinger qui, dans son livre de 2001 L’esprit de la liturgie (Ad Solem), regrettait que « l’échange du signe de paix gĂ©nère une certaine agitation parmi les fidèles ».