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Saint Martin 1er, 74 ème Pape, de 649 à 656 et martyr.
Fils de Fabrice, pieux et riche patricien de Toddi (Toscane), Martin « reçut du ciel la beauté et un esprit si vif et si pénétrant, qu’il surpassa bientôt, soit dans les humanités, soit dans la rhétorique et la philosophie, les maîtres qu’on lui donnait pour l’instruire. » Diacre de l’Eglise romaine, Martin fut apocrisiaire (ambassadeur impérial) de la cour romaine à Constantinople.
A cette époque, les rapports entre Rome et Constantinople étaient fortement affectées par les développements du monothélisme et l’hostilité des Eglises orientales envers le patriarcat de Constantinople, exigeaient une parfaite maîtrise des concepts et des rapports de forces en Orient. La doctrine hérétique du monothélisme prétendait qu’il n’y aurait eu dans le Christ qu’une seule volonté, la volonté divine. Mis en avant au début du VIIè siècle par le patriarche Sergius de Constantinople dans l’espoir de ramener à l’unité les monophysites qui affirmait qu’il n’y aurait eu dans le Christ qu’une seule nature. En 642, le clergé romain avait élu pape Théodore, fils d’un patriarche de Jérusalem, rompu aux discussions théologiques orientales et parfaitement hellénophone (qui parle le grec ancien) qui avait une parfaite maîtrise des concepts et des rapports de forces en Orient. A cette époque, le patriarche Pyrrhus venait d’être déposé au profit de Paul, instigateur d’un édit (Typos) par lequel l’empereur Constant II interdisait toute discussion théologique afin de ne pas compromettre l’unité de l’Empire (648).
Les Orientaux, qui supportaient mal la tutelle impériale et surtout celle d’un patriarche sans références apostoliques, n’en continuèrent pas moins leur campagne contre le monothélisme, soit au nom du monophysisme, soit au nom de l’orthodoxie. Maxime le Confesseur était alors le plus ardent propagandiste de l’orthodoxie. Ce noble lié de près à la famille impériale mit brusquement fin à une carrière de haut fonctionnaire pour embrasser l’état monastique peu avant 618. En 632, il résidait déjà à Carthage d’où il dirigeait l’opposition à la théologie impériale, fort de sa position locale et des relations qu’il entretenait avec toute la classe dirigeante. Il obtint en particulier le ralliement de Pyrrhus à l’orthodoxie et l’accompagna à Rome où le patriarche déchu abjura solennellement l’hérésie en 645 ou 646 ; mais, convoqué à Ravenne par l’exarque, il revint à ses convictions premières.
Dès 646, le pape Théodore, fortement aidé par Maxime le Confesseur, reçut le soutien de synodes provinciaux organisés par tous les métropolitains de l’Afrique byzantine. Un an avant le premier raid sarrasin contre la région, cette partie de l’Empire byzantin se déclarait solidaire du patriarche contre le souverain incapable d’assurer sa sécurité. La situation était alors tellement confuse en Italie que personne ne semblait en mesure de s’imposer, ce qui explique en partie l’âpreté des querelles théologiques. En effet, le cartulaire (notaire) Maurice qui avait d’abord suivi l’exarque, se révolta, soulevant les villes et les bourgs fortifiés du Latium, avant d’être pris et tué. Les Lombards étaient suffisamment calmes pour que les troupes byzantines pussent engager une guerre civile.
Cinquante-deux jours après la mort du pape Théodore, Martin fut élu à sa succession (15 juillet 649). Elu par les romains, il fut le premier pape consacré (5 août 649) sans la confirmation de l’Empereur ou de l’exarque de Ravenne qui le représentait. Martin Ier ne fut donc pas reconnu comme pape par la cour de Constantinople.
A peine élu, Martin Ier dénonça le typos de l’Empereur qui mettait sur le même plan l’erreur et la vérité. Du 5 au 31 octobre 649, il réunit un concile au Latran pour défendre la foi catholique sur les deux volontés divines et humaines du Christ, vrai Dieu et vrai homme. Fort des condamnation du concile, Martin Ier entreprit de rallier contre le monothélisme les églises d’Orient et d’Occident.
L’empereur byzantin n’apprécie guère d’être ainsi désavoué : il fait accuser Martin d’élection illégale et d’hérésie et le 17 juin 653, l’exarque de Ravenne, Calliope, fit arrêter le Pape par la police impériale dans la basilique du Latran. Il fut amené par voie d’eau à Ostie où il fut embarqué pour Constantinople. Au terme d’un voyage au cours duquel, atteint de goutte, il fut laissé sans soin, avec l’interdiction de sa laver et fort peu nourri, Martin Ier fut débarqué sur un grabat, insulté par la populace rassemblée et payée à cet effet (17 septembre 653).
Il fut maltraité durant la longue traversée: ” J’y suis depuis quarante jours et l’on ne m’a pas donné de l’eau pour me laver. Je grelotte de froid, je suis épuisé par la dysenterie, je vomis la nourriture que je dois manger.” Arrivé à Constantinople, il fut gardé au secret durant 93 jours et finalement condamné à mort après un simulacre de jugement (20 décembre 653). On le dépouilla publiquement ses vêtements sacerdotaux en les déchirant.
Après trois mois de la plus rigoureuse détention, il fut transporté par les soldats (car la maladie ne lui laissait plus la force de marcher) dans l’appartement du sacellaire (trésorier militaire) Troïlus où le sénat était réuni, et interrogé par le patrice Bucoléon. Le sacellaire lui commanda de se lever pour répondre à l’interrogatoire ; comme ses porteurs répondirent qu’il ne pouvait se tenir debout à cause de son extrême faiblesse, Troïlus se moqua de cette impuissance, voulut absolument qu’il se levât et qu’il se mît debout au milieu de l’assemblée : deux soldats le soutinrent, et dans cette attitude, il subit l’interrogatoire le plus brutal. Bucoléon adressa le premier la parole à l’héroïque martyr : « Réponds, misérable, quel mal t’a fait l’empereur ? A-t-il confisqué tes biens ? Peux-tu lui reprocher un seul acte de violence ? » Martin Ier ne répondit pas un mot. Le sacellaire reprit alors avec colère : « Tu ne réponds rien ? Tes accusateurs vont entrer. » Ils étaient au nombre de vingt, la plupart soldats, les autres appartenant à la lie du peuple. A leur vue, le Pape dit en souriant : « Sont-ce là les témoins ? Est-ce là votre procédure ? » Puis, comme on les faisait jurer sur le livre des évangiles, il se tourna vers les magistrats en disant : « Je vous supplie, au nom de Dieu, de les dispenser d’un serment sacrilège ; qu’ils disent ce qu’ils voudront. Faites vous-mêmes ce qui vous est ordonné. Mais ne les exposez point à perdre leur âme ! » Le premier des faux témoins, désignant le Pape du doigt, s’écria : « S’il avait cinquante têtes, il mériterait de les perdre toutes pour avoir conspiré en Occident contre l’Empereur, de concert avec Olympius, l’ancien exarque. » A cette accusation formulée d’une manière aussi énergique, Martin I° répondit que jamais il n’avait trahi les intérêts de l’Empereur en matière politique, mais qu’il ne pouvait lui obéir quand la cause de la foi était en péril. « Ne nous parlez point de la foi, reprit le calomniateur, il n’est ici question que du crime de lèse-majesté. Nous sommes tous chrétiens et orthodoxes, les Romains et nous ! » Le Pape répondit : « Plût à Dieu ! Toutefois, au jour terrible du jugement, je rendrai témoignage contre vous au sujet de cette foi ! » Quand on lui demanda pourquoi il ne détourna pas Olympius qui trahissait l’Empereur, il répondit : « Comment aurais-je pu résister à Olympius qui disposait de toutes les forces de l’ltalie ? Est-ce moi qui l’ai fait exarque ? Mais je vous conjure, au nom de Dieu, achevez au plus tôt la mission dont vous êtes chargés. Dieu sait que vous me procurez une belle récompense. »
Après cet interrogatoire, dont le procès-verbal fut rédigé séance tenante, le sacellaire revint près du Pontife, et dans un accès de véritable rage, il osa porter une main sacrilège sur l’oint du Seigneur. Constant assistait à cette scène d’un lieu où il pouvait tout voir sans être vu. Un soldat, sur l’ordre du sacellaire, déchira le manteau du Pape et le dépouilla de ses ornements pontificaux. Réduit à une nudité presque complète, Martin fut chargé de fers et traîné à travers les rues de la ville. Au milieu de ces outrages, le martyr conservait la même tranquillité qu’il eût montrée au milieu d’une assemblée de pieux fidèles.
Condamné à mort, Martin Ier fut enfermé à la prison Diomède ; il écorcha ses pauvres jambes aux degrés du sinistre logis. Malgré la sollicitude de deux femmes qui avaient les clefs de la prison, Martin Ier, transi de froid, perdit l’usage de la parole mais put écrire un mémoire à ses fidèles. Le patriarche de Constantinople obtint que l’Empereur commuât sa peine en déportation à vie.
En avril 654, Martin Ier fut envoyé clandestinement à Cherson (Sébastopol), en Crimée, où il mourut de faim le 13 avril 656, brisé par une détention cruelle. Le moine byzantin, saint Maxime, le suivra quelques années plus tard dans la même confession de la foi.
Saint Martin sera le dernier pape martyr.
Constant II étant empereur de Byzance et Clovis II roi des Francs. L’Église l’honore avec justice comme un martyr, puisqu’il est mort des misères que lui ont causées sa prison et son exil.
Son corps, transféré à Rome, fut déposé dans l’église des saints Sylvestre et Martin, apôtres des Gaules.
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