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L’accueil des migrants
Interrogé sur la crainte des pays européens à accueillir des étrangers sur leur sol, le Pape a expliqué qu’ «en théorie, on ne peut pas fermer son cœur à un réfugié», mais il a reconnu que les gouvernements, «qui doivent être très ouverts à les recevoir», avaient le droit de calculer, avec «prudence» et chacun selon ses possibilités, la capacité d’accueil de leur pays, car il ne s’agit pas que d’accueillir ces réfugiés, mais aussi de les intégrer.
«Il n’est pas humain de fermer les portes et les cœurs, et à la longue, ça se paie politiquement. Tout comme peut se payer politiquement une imprudence dans les calculs, en recevant plus de personnes qu’on ne peut intégrer», a insisté le François. Pour lui, «le plus mauvais conseiller pour les pays qui tendent à fermer les frontières est la peur. Le meilleur conseiller est la prudence».
Le Pape a distingué «migrants» et «réfugiés». «Les migrants doivent être traités avec certaines règles, parce que migrer est un droit, mais un droit très réglementé». En revanche, le statut de réfugié, «celui qui provient d’une situation de guerre, d’angoisse, de faim, d’une situation terrible», a besoin «de plus de soins, plus de travail».
Enfin, le danger est le même pour les réfugiés et migrants qui ne sont pas intégrés : «ils entrent dans un ghetto». Or «une culture qui ne se développe pas par rapport à une autre culture, c’est dangereux», a estimé François.
Le Pape a salué la tradition d’accueil de la Suède, où se sont réfugiés de nombreux Sud-américains lors des périodes de dictatures et qui a accueilli 245 000 réfugiés entre 2014 et 2015. Évoquant une conversation avec un fonctionnaire suédois qui avouait des difficultés pour organiser l’arrivée des étrangers, le Pape a dit ne pas croire que «la Suède diminue sa capacité d’accueil par égoïsme».
La sécularisation
La sécularisation est-elle une fatalité ? Qui en est responsable : les gouvernements laïcs ou l’Église qui serait trop timide ? Le Pape se montre positif : «La sécularisation n’est pas une fatalité». Il identifie deux causes à cette sécularisation qui touche notamment la Suède. Le Pape regrette «la suffisance de l’homme créateur de culture, mais qui dépasse les limites et se sent Dieu». Le Pape précise qu’il ne s’agit pas d’un problème de laïcité, car «on a besoin d’un saine laïcité», de «l’autonomie sainte des choses». Ensuite, François estime que la sécularisation est due à la tiédeur de la foi. «Quand la foi est tiède, l’Eglise se fragilise». Il cite la France en exemple, «du temps de la mondanité de la Cour, quand des prêtres étaient l’abbé de la cour, un fonctionnalisme clérical (…) Il manquait la force de l’évangélisation». Une force à retrouver.
Le Pape met en garde contre «la ‘mondanisation’ spirituelle», notamment au sein de l’Église. Il n’y a rien de pire. «Quand Jésus a prié pour nous tous à la Cène, a expliqué le pape, il a demandé une chose pour nous au Père: de ne pas les enlever du monde, mais de les garder du monde, de la mondanité», rappelle le Pape.
Les femmes dans l’Église
Après avoir rencontré en Suède, une femme à la tête d’une Eglise protestante, le Pape a été appelé à se prononcer sur l’avenir des femmes dans l’Eglise catholique. Il a réaffirmé la doctrine de l’Eglise sur l’ordination des femmes, qui n’est pas d’actualité. «Mais les femmes peuvent faire tant de choses», a souligné François. «Dans l’ecclésiologie catholique, il y a deux dimensions: la dimension pétrinienne, celle de Pierre et du collège apostolique, qui est la pastorale des évêques. Et puis la dimension mariale, qui est la dimension féminine de l’Église. Je me demande qui est la plus importante dans la théologie et la mystique : les apôtres ou Marie? C’est Marie ! », s’exclame le Pape. Il précise qu’il n’y a pas d’Église sans cette dimension féminine car l’Eglise elle-même est femme, mère et épouse.
Une rencontre avec Nicolas Maduro
Le Pape a reçu le président du Venezuela la semaine dernière au Vatican, lors d’une escale de Nicolas Maduro à Rome après une visite au Qatar. Le président qui avait déjà rencontré le Pape en 2013, avait exprimé le souhait de pouvoir être reçu par François. «Quand un président le demande, on le reçoit». Lors de cet échange de trente minutes, le Pape l’a écouté, lui a posé des questions. «Il est bon d’entendre tous les avis».
Pour débloquer la situation vénézuélienne, le Pape a réaffirmé que «l’unique chemin valable pour tous les conflits, c’est le dialogue». Ou on se crie dessus ou l’on dialogue. Le Pape ne sait pas comment l’avenir se déterminera pour le pays, «c’est très complexe», mais les gens engagés dans ce dialogue ont une stature politique importante, comme l’ancien Premier ministre espagnol Zapatero, et ils ont demandé à l’Église de prendre part au dialogue. Le Saint-Siège a alors désigné Mgr Tscherrig, le nonce apostolique en poste en Argentine.
L’esclavage moderne et la traite
Le Pape a enfin répondu à une demande sur l’esclavage moderne. Pourquoi est-il si sensible à ce sujet ? François a expliqué que déjà à Buenos Aires, comme prêtre, il a été «préoccupé» par la chaire du Christ, et le fait que le Christ continue de souffrir. «Le Christ est crucifié continuellement à travers ses frères les plus faibles, cela m’a toujours ému», confie le Pape. Il a évoqué son travail avec des croyants et de non-croyants en Argentine pour aider les migrants ‘esclavagisés’ à leur arrivée dans le pays, ou auprès des «esclaves de la prostitution». En Italie, le Pape souligne qu’il existe également de nombreux groupes de volontaires qui travaillent contre toutes formes d’esclavage, dans le travail ou des femmes. «En Italie, on travaille bien». Le Pape salue le travail des prêtres et des bénévoles de l’Église italienne.
(MD)
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