La confession (obligatoire) pascale (faire ses Pâques) :
Pour la grande douleur du Christ, de son Eglise et de ses pasteurs, certains pratiquants (et dont certains communient ! commettant ainsi un grave péché) ne se confessent jamais.
Or, il faut se confesser au moins une fois par an au Temps de Pâques.
D’après le commandement de l’Eglise, tout fidèle parvenu Ă l’âge de raison doit confesser, au moins une fois par an, les pĂ©chĂ©s graves dont il a conscience. (1)
Celui qui a conscience d’avoir commis un pĂ©chĂ© mortel (2) ne doit pas recevoir la sainte communion, mĂŞme s’il Ă©prouve une grande contrition, sans avoir au prĂ©alable reçu l’absolution sacramentelle (…).
Les enfants doivent accéder au sacrement de la Pénitence avant de recevoir pour la première fois la Sainte communion.
CatĂ©chisme de l’Eglise Catholique, n°1457. Le n°2042 reprend le prĂ©cĂ©dent et ajoute son corollaire : Tout fidèle est tenu par l’obligation de recevoir la Sainte Communion au moins chaque annĂ©e Ă Pâques.
(1) D’oĂą l’expression : “faire ses Pâques”.
(2) Ce n’est pas parce qu’on n’a pas conscience d’avoir commis un ou des pĂ©chĂ©s mortels qu’on n’en a pas commis ! Car on a le devoir d’Ă©clairer sa conscience en lisant le CatĂ©chisme, en questionnant un prĂŞtre sĂ»r. Sinon, on s’arrange une religion Ă sa guise. Quand le pĂ©chĂ© est lĂ et qu’on ne l’a pas fait sortir, comme un cancer, il ronge et dĂ©truit la vie de l’âme.