“Diable”, “mal”, “malin”, “père du mensonge”… Notre nouveau pape ne craint pas de parler souvent de ce “Satan” en des termes percutants : “Quand on ne confesse pas Jésus-Christ, on confesse la domination du diable sur terre” (première messe à la chapelle Sixtine, dans son homélie aux cardinaux électeurs). Voilà un langage que l’on n’a plus entendu depuis longtemps… Aurait-on oublié que le mal est une présence active ? Et que, sans en être effrayés, nous devons y être attentifs ? Croire revient sur ce qu’est le diable, et donne des pistes pour le combattre.