INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Le corps a-t-il une mémoire ? Est-on libre de choisir sa mort Lire plus…
Un outil au service de la mission Mgr Olivier de Cagny, évêque Lire plus…
Les articles du Credo, écrit il y a 1.700 ans et appris Lire plus…
Semaine 49 Année liturgique A Lundi 1 décembre – de la férie Lire plus…
Semaine 50 Lundi 8 décembre – Immaculée Conception de la Vierge Marie Lire plus…
Du 30 novembre au 8 décembre
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Dernier village entièrement chrétien de Palestine, Taybeh vit entre lumière et tourments : Lire plus…
Semaine 48 Lundi 24 novembre – S. André Dung-Lac, prêtre, et ses Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Un rapport publié ce 18 novembre par l’Observatoire sur l’intolérance et les Lire plus…
Cette semaine, Ma Petite Escapade vous embarque pour une rencontre exceptionnelle avec Lire plus…
Semaine 47 Lundi 17 novembre – Ste Elisabeth de Hongrie Mardi 18 Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Semaine 46 Lundi 10 novembre – S. Léon le Grand, pape et Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Semaine 45 Lundi 3 novembre – S. Martin de Porrès, religieux. Mardi Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Entourage, Click To Pray, Open Bible… Du partage de la Parole de Lire plus…
Semaine 44 Lundi 27 octobre – de la férie Mardi 28 octobre Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Alors que le Secours catholique-Caritas France a annoncé un plan social historique Lire plus…
Le Pôle Mission du service du diocèse de Paris, propose à tous Lire plus…
Deux-tiers des habitants de la planète ne peuvent exercer pleinement leur liberté Lire plus…
ALBUM PHOTOS (+170) cliquez
Semaine 43 Lundi 20 octobre – de la férie Mardi 21 octobre Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Les États-Unis, l’Égypte, le Qatar et la Turquie signent une déclaration sur Lire plus…
Semaine 42 Lundi 13 octobre – de la férie Mardi 14 octobre Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
La suppression du délai de réflexion avant une IVG
« Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement (…). C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame » affirmait Simone Weil en 1974.
Adopté en commission des affaires sociales, cet amendement renforce la banalisation de l’avortement : cet acte qui conduit à éliminer la vie. Avorter ne sera jamais banal, quelles qu’en soient les raisons.
Pour bien des actes de la vie courante, des délais de réflexion sont préservés pour garantir une réelle liberté de choix. Supprimer le délai de réflexion pour les femmes voulant avorter revient à empêcher une réelle liberté de prise de conscience et de choix face à la vie qu’elles portent.
La suppression du délai de réflexion avant une IVG renforce une conception réduite de la dignité humaine faisant de l’enfant à naître un simple objet dont on doit disposer librement et retirant à la femme enceinte les moyens d’exercice de sa réelle liberté de conscience.
L’Église continuera à accompagner les couples et les femmes confrontées à cette douloureuse question.
L’autorisation de prélèvement d’organes
L’amendement adopté en commission des affaires sociales constitue un retour en arrière, considérant que seule l’inscription sur le registre national qui recense les refus de don d’organe peut empêcher le prélèvement. En l’absence d’inscription sur ce registre, depuis 1994, la famille de la personne décédée doit être interrogée par les médecins afin d’exercer le discernement nécessaire pour décider d’éventuels prélèvements.
L’amendement, qui propose de retirer cette consultation de la famille afin de permettre plus de prélèvements, est une pure négation de cette ultime liberté qu’il faut laisser au défunt et à sa famille. « En réalité, n’est-ce pas plutôt considérer le corps humain après la mort comme une réserve d’organes exploitable en fonction des besoins de la société… N’est-ce donc pas une forme d’appropriation collective des corps ? » s’interroge le Père Patrick VERSPIEREN (http://ethique-soin.blogs.la-croix.com/don-dorganes-un-amendement-deplorable/2015/03/31/)
L’amendement en question risque de provoquer une méfiance encore plus grande vis-à-vis du don d’organes et atteindre un but inverse de celui recherché.
Le don d’organe est un acte d’une grande dignité car il reste un don : expression d’une liberté individuelle pleinement consentie. Il est un signe de solidarité de la part du donneur qu’il faut encourager.
Si le don d’organe est bien une « priorité nationale », il est urgent de le promouvoir en tant que tel, de mettre en place de véritables campagnes d’information basées sur la responsabilité et la solidarité de chacun. La loi doit proposer à chacun une telle place dans la société et non pas réduire le citoyen à un simple réservoir d’organes.
Expérimentation des salles de consommation à moindre risque
La loi Santé propose aussi l’expérimentation pendant six ans des salles de consommation à moindre risque, les « salles de shoot ».
La CEF considère cette expérimentation comme une prise de risque inconsidérée. Là encore, elle serait une forme de banalisation par la loi de la consommation de drogue. La loi doit poser des limites et non pas proposer des transgressions. Le risque d’émettre un mauvais signal, notamment, à destination des jeunes ne peut pas être couru ainsi. Une telle décision mérite sûrement plus de réflexion et de consultations.
Les efforts de l’Etat doivent plutôt porter sur deux volets : la prévention et l’accompagnement des personnes dépendantes. Les SCMR apparaitraient comme un échec de ces deux volets.
Contraception d’urgence pour les mineurs
La loi Santé en débat propose aussi la banalisation de la contraception pour les mineurs en faisant sauter les dernières barrières que la loi précédente prévoyait : « les mots : « à titre exceptionnel et » et les mots : « et de détresse caractérisés » sont supprimés », indique l’article 3.
Cette loi indique une conception erronée de la dignité de la personne humaine, ôtant toute responsabilité de la part des adultes vis-à-vis des jeunes mineurs confrontés aux questions affectives et sexuelles. Il est inconcevable que la loi laisse ainsi les adolescents seuls dans l’exercice de ces premiers discernements qu’ils doivent faire sur leur corps, sur leur engagement, sur leur rapport même à la vie. Cet amendement vise encore à déconstruire un peu plus cette responsabilité que la société adulte doit exercer sur les jeunes générations, faisant miroiter à ces dernières une fausse image de la liberté faite, non pas de choix, mais d’absence de choix.
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Consultez-la en cliquant sur le lien ci-dessous : suite
Le corps a-t-il une mémoire ? Est-on libre de choisir sa mort ? Pourquoi devient-on addict ? Donner ses organes, qu’est-ce que ça implique ?
À bord de l’avion qui le ramenait à Rome après son voyage au Liban le 2 décembre, Léon XIV a révélé aux journalistes le livre
Un outil au service de la mission Mgr Olivier de Cagny, évêque d’Évreux, vous annonce avec joie la mise en ligne du nouveau site internet
Lors du vol de retour du Liban vers Rome, Léon XIV a rencontré les journalistes et parlé du rôle du Saint-Siège qui travaille «en coulisses»
Année liturgique A