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St Robert Bellarmin – évêque puis cardinal jésuite, docteur de l’Église, 4 octobre 1542 à Monte-Pulciano – † 17 septembre 1621 à Rome. (t 13 /05)
Le jésuite Bellarmin (1542-1621), Toscan d’origine, enseigna à Louvain, puis à Rome, où il écrivit ses Controverses et forma le jeune Louis de Gonzague. Nommé cardinal archevêque de Bénévent, le professeur se révéla parfaitement doué pour l’action pastorale. Mais il dut revenir à Rome comme conseiller du Pape.
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Roberto Francesco Romolo Bellarmino, francisé en Robert Bellarmin, naquit en Toscane, à Monte-Pulciano, en le 4 octobre 1542, le jour de la fête du poverello d’Assise pour lequel il eut toute sa vie une grande dévotion. Il devait d’ailleurs mourir le jour où l’Église célèbre l’impression des stigmates de saint François, le 17 septembre. Il était le neveu du pape Marcel II.
Après s’être demandé s’il ne deviendrait pas médecin, il entra dans la Compagnie de Jésus à l’âge de 18 ans. Il étudia en diverses villes et notamment à Louvain, où il devint professeur et y reçut tous les ordres. Il y resta pendant sept années (1569-1576), prêchant avec grand succès à l’église Saint Michel. Il y prêcha avec tant de succès, que les protestants venaient d’Angleterre et de Hollande pour l’entendre.
Après sept ans de séjour dans les Pays-Bas, il retourna en Italie.
Les troubles excités en Flandre par l’invasion du prince d’Orange, Guillaume le Taciturne, avaient été pour Bellarmin l’occasion de grandes souffrances et de grands dangers. Sa santé, toujours chétive, s’affaiblit tellement que, la dernière année de son séjour dans l’Athènes brabançonne, il dut renoncer à la prédication et se borner au travail de l’enseignement. Mais, comme ses forces ne cessaient de décliner, en 1576, le P. Everard Mercurian, quatrième général de la Compagnie de Jésus, le rappela en Italie.
Des demandes vinrent de divers côtés : à Paris, on offrait au P. Robert les chaires les plus considérables, à Milan, saint Charles Borromée le désirait pour prédicateur de sa cathédrale. Le P. Mercurian avait d’autres vues ; il se proposait de créer au Collège romain une chaire de controverse, dont les leçons s’adresseraient surtout aux jeunes gens du Collège germanique et du Collège anglais. Grégoire XIII bénit ce projet, et Bellarmin fut désigné pour occuper la chaire. A la fin d’octobre s’ouvrit le célèbre cours, d’où sortit le principal ouvrage du grand controversiste : Disputationes de controversiis christiniæ fidei adversus hujus temporis hæreticos. Ouvrage dans lequel saint Robert Bellarmin réfute point par point, en plusieurs
volumes, les différentes professions de foi protestantes. Cet ouvrage eut un très grand succès et connut vingt éditions de son vivant. Par ses livres de controverses, il porta des coups terribles à l’hérésie protestante. Théodore de Bèze, un des leaders protestants de l’époque, dira : » C’est le livre qui nous a perdu ! » C’est à son influence intellectuelle qu’une bonne partie de l’Europe de l’Ouest doit de n’avoir pas » basculé » dans la Réforme protestante.
Dès le début, le nouveau professeur se fit admirer par sa méthode claire et compréhensive, son érudition, la franchise et la dignité de sa polémique. Aussi l’enseignement d’abord, puis la publication de ce cours de controverses, eurent, chez les protestants comme chez les catholiques, un immense retentissement. Bellarmin se trouva dès lors au premier rang parmi les champions de l’Eglise romaine, mais il eut surtout la joie d’être l’instrument de nombreuses et insignes conversions.
C’est à cette circonstance qu’il devint le directeur spirituel d’un novice qui sera saint Louis de Gonzague et de saint Jean Berchmans.
Il ne fut pas seulement un habile théologien, un excellent prédicateur et le plus célèbre controversiste de son temps. Les cardinaux le regardaient comme un vrai Père de l’Eglise. Âme d’une innocence angélique, religieux d’une humilité et d’une obéissance sans égale, il fut dans l’Épiscopat le modèle des pasteurs par sa vigilance et par sa charité envers les pauvres.
En 1597, Saint Robert Bellarmin publie le Grand et le Petit Catéchisme qui connurent aussi un grand succès : quatre cents éditions et traductions en soixante langues il répandait dans tous les pays du monde la connaissance de la doctrine chrétienne. L’exposé de la position catholique clair et logique, devint le modèle des exposés doctrinaux de la foi catholique pendant plusieurs siècles.
Il participa activement au procès de Giordano Bruno et à la controverse autour des théories de Galilée.
Sixte V le donna ensuite, en qualité de théologien, au légat qu’il envoya en France l’an 1590.
Après le meurtre du roi Henri III, accompli le 2 août 1589, Sixte-Quint résolut d’envoyer en France le cardinal camerlingue Henri Gaétani, avec le titre de légat apostolique et la mission d’étudier l’état des esprits, de protéger aux mieux les intérêts du catholicisme et de faire autant que possible œuvre de paix, tout en conservant vis-à-vis des paris une entière indépendance. Comme le légat pouvait se trouver en face de questions juridiques et théologiques des plus graves, le pape voulut qu’il fût accompagné de savants prélats et que Bellarmin leur fût adjoint en qualité de théologien. Gaétani et ses auxiliaires partirent de Rome au commencement d’octobre et arrivèrent à Paris le 20 janvier 1590 ; ils y restèrent jusqu’à la fin d’août. Les incidents du voyage, le séjour à Paris dans l’inaction et les souffrances d’un siège rigoureux, puis la très grave maladie dont il fut atteint au retour, ont été racontés par Bellarmin lui-même dans son autobiographie.
Clément VIII le fit cardinal neuf ans après, et archevêque de Capoue le 21 avril 1602. Paul V ayant voulu le retenir auprès de lui, Bellarmin se démit de son archevêché, et se dévoua aux affaires de la cour de Rome jusqu’en 1621. Il mourut la même année (le 17 septembre), au noviciat des Jésuites à Saint André du Quirinal, où il s’était retiré dès le commencement de sa maladie. Grégoire XV alla visiter le cardinal mourant qui lui adressa ces paroles : Domine, non sum dignus ut intres sub tectum meum ; paroles qui marquent jusqu’à quel point le cardinal Bellarmin portait son respect pour le vicaire de Jésus-Christ.
L’héroïcité de ses vertus fut proclamée par Benoît XV (1918) ; il fut béatifié (1923) et canonisé le 29 juin 1930 par Pie XI qui, le 17 septembre 1931, le déclara docteur de l’Église universelle.
Son tombeau se trouve à Rome dans l’église Saint Ignace (dans la nef latérale de droite, à côté du tombeau de saint Louis de Gonzague).
Saint Robert Bellarmin était de petite taille, il lui fallait un escabeau pour prêcher en chaire. Robert Bellarmin était un surdoué. Mais tandis que tant d’hommes intelligents sont tentés de suffisance ou d’orgueil, lui a reçu son intelligence comme un don de Dieu, humblement demandé et accueilli dans la prière. » J’ai prié et l’intelligence m’a été donnée. «
Saint Robert Bellarmin a vécu dans l’intimité de huit papes successifs, avec la réputation d’un don étonnant de prescience à leur sujet.
A un ami qui demandait à Saint Robert Bellarmin : » Vous avez prédit la mort du Pape Sixte, celle du Pape Clément et maintenant celle du Pape Paul. Comment faites-vous ? « , Saint Robert Bellarmin répondit en riant : « Eh bien ! je vais vous le dire ; tous les papes croient, et d’autres le croient pour eux, qu’ils régneront tant d’années ; j’en enlève un tiers, et je donne ce chiffre. »
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Si tu as la sagesse, comprends que tu as été créé pour la gloire de Dieu et ton salut éternel…
Événements heureux ou malheureux, richesse ou pauvreté, santé ou maladie, honneurs ou outrages, vie ou mort, le sage ne doit ni les chercher ni les fuir.
Ces choses ne sont désirables que si elles contribuent à la gloire de Dieu et à notre félicité éternelle.
Elles sont mauvaises et elles sont à fuir si elles constituent un obstacle.
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