Ce 22 août, le Pape Léon XIV a invité à invoquer la Lire plus…
Ce 14 août marque les 100 jours du pontificat de Léon XIV. Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Les obsèques se tiendront le jeudi 28 août à 14:00 à l’église Lire plus…
Semaine 34 Lundi 18 août – de la férie Mardi 19 août Lire plus…
Semaine 35 Lundi 25 août – S. Louis ; S. Joseph de Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Prière pour le 15 août proposée par la conférence des évêques de Lire plus…
Semaine 33 Lundi 11 août – Ste Claire, vierge Mardi 12 août Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Un chant céleste d’espérance a résonné sur toute la plaine romaine de Lire plus…
Semaine 32 Lundi 4 août – S. Jean-Marie Vianney, prêtre Mardi 5 Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Le village chrétien de Taybeh, dans le centre de la Cisjordanie occupée, Lire plus…
Après la récitation de l’Angélus, le Pape a évoqué la célébration de Lire plus…
Semaine 31 Lundi 28 juillet – de la férie Mardi 29 juillet Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Une frappe israélienne contre la seule église catholique de Gaza a heurté Lire plus…
Membre de l’association « Les Amis de Van » qui porte la cause de Lire plus…
Semaine 30 Lundi 21 juillet – S. Laurent de Brindisi, prêtre et Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Semaine 29 Lundi 14 juillet – S. Camille de Lellis, prêtre Mardi Lire plus…
Les prêtres des trois églises de Taybeh dénoncent «une série dangereuse d’attaques Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Semaine 28 Lundi 7 juillet – de la férie Mardi 8 juillet Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Semaine 27 Lundi 30 juin – Ss. Premiers martyrs de l’Eglise de Lire plus…
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Lire plus…
Messe de fin d’année avec les enfants du catéchisme. Nous avons la Lire plus…
Notre-Dame de la Merci
D’abord connu sous le nom d’Ordre de Ste Eulalie pour la rançon des captifs, l’Ordre de Notre-Dame de la Merci fut créé au XIIIè siècle ; il s’était fixé comme but le rachat des chrétiens prisonniers des musulmans. Au XVè siècle, on attribuait sa fondation à S. Pierre Nolasque et à S. Raymond de Pegnafort, à qui la Sainte Vierge apparut.
Elle lui inspira de fonder l’Ordre de la Merci ou de la Rédemption ou du Rachat des captifs. Dans le nom Notre-Dame-de-la-Merci, le mot ‘merci’ traduit le mot espagnol ‘merced’ qui signifie ‘grâce’ ou le mot latin ‘merces’ qui signifie ‘rançon’. Quant à la fête de Notre-Dame-de-la-Merci, on affirme qu’elle fut primitivement instituée pour remercier la Vierge d’avoir rendu la liberté aux prisonniers qui lui criaient merci.
Ce nom Notre-Dame-de-la-Merci mérite un moment d’attention. Il remonte au XIIIè siècle. À cette époque, en Espagne, parmi les soldats chrétiens, qui tentaient de chasser les Maures de leur pays, plusieurs avaient été faits prisonniers et conduits en Afrique du Nord. Une rançon était exigée pour leur libération. Un grand nombre de ces prisonniers étaient très pauvres. Ils ne pouvaient donc espérer être un jour libérés. C’est alors que la Vierge Marie apparut à saint Pierre Nolasque pour leur venir en aide, prenant l’œuvre sous sa protection.
Au milieu de la nuit du 1er août 1218, alors que l’Eglise célébrait la fête de Saint-Pierre-aux-Liens, la vierge Marie, accompagnée d’anges et de saints, apparut à saint Pierre Nolasque et lui dit : Mon fils, je suis la Mère du Fils de Dieu qui, pour le salut et la liberté du genre humain, répandit tout son sang en souffrant la mort cruelle de la Croix ; je viens ici chercher des hommes qui veuillent, à l’exemple de mon Fils, donner leur vie pour le salut et la liberté de leurs frères captifs. C’est un sacrifice qui lui sera très agréable. Je désire donc que l’on fonde en mon honneur un Ordre dont les religieux, avec une foi vive et une vraie charité, rachètent les esclaves chrétiens de la puissance et de la tyrannie des Turcs, se donnant même en gage, s’il est nécessaire, pour ceux qu’ils ne pourront racheter autrement. Telle est, mon fils, ma volonté ; car, lorsque dans l’oraison tu me priais avec des larmes de porter remède à leurs souffrances, je présentais tes vœux à mon Fils qui, pour ta consolation et pour l’établissement de cet Ordre sous mon nom, m’a envoyée du ciel vers toi. Saint Pierre Nolasque répondit : Je crois d’une foi vive que vous êtes la Mère du Dieu vivant et que vous êtes venue en ce monde pour le soulagement des pauvres chrétiens qui souffrent dans une barbare servitude. Mais que suis-je, moi, pour accomplir une œuvre si difficile au milieu des ennemis de votre divin Fils et pour tirer ses enfants de leurs cruelles mains ? Et Notre-Dame de lui répondre : Me crains rien, Pierre, je t’assisterai dans toute cette affaire et, pour que tu aies foi en ma parole, tu verras bientôt l’exécution de ce que je t’ai annoncé et mes fils et mes filles de cet Ordre se glorifieront de porter des habits blancs comme ceux dont tu me vois revêtue. En disant cela, la Vierge disparut.
Pierre Nolasque passa en prière le reste de la nuit puis rejoignit Raymond de Penyafort qui lui dit : J’ai eu cette nuit la même vision que vous : j’ai été aussi favorisé de la visite de la Reine des anges et j’ai entendu de sa bouche l’ordre qu’elle me donnait de travailler de toutes mes forces à l’établissement de cette religion et d’encourager dans mes sermons les catholiques fidèles à venir en aide à une œuvre de charité si parfaite. C’est pour remercier Dieu et la très sainte Vierge que j’étais venu si matin à la cathédrale. Le roi Jacques Ier d’Aragon entra alors dans la cathédrale et leur dit : La glorieuse Reine des anges m’est apparue cette nuit, avec une beauté et une majesté incomparables, m’ordonnant d’instituer, pour la rédemption des captifs, un Ordre qui porterait le nom de Sainte-Marie de la Merci ou de la Miséricorde ; et, comme je connais en toi, Pierre Nolasque, un grand désir de racheter les esclaves, c’est toi que je charge de l’exécution de cette œuvre. Pour toi, Raymond, dont je sais la vertu et la science, tu seras le soutien de l’Ordre par tes prédications.
La fête du 24 septembre commémore cette apparition : célébrée d’abord par l’Ordre, elle fut étendue à l’Église universelle en 1696.
******
– Issu de la noble famille des Nolasco, apparenté par sa mère aux comtes de Toulouse et aux rois d’Aragon, Pierre Nolasque, né vers 1189 au mas des Saintes-Puelles, dans l’ancien diocèse de Saint-Papoul, après avoir renoncé au mariage pour se consacrer à Dieu, rejoint les armées de Simon de Montfort. A la bataille de Muret où le roi Pierre d’Aragon est tué, son fils, Jacques, âgé de six ans, est fait prisonnier ; Simon de Monfort le met sous la garde de Pierre Nolasque puis les envoie tous deux en Espagne. Loin de la cour, Pierre Nolasque enseigne son royal élève et lui montre l’exemple de sa piété et de sa charité.
– Né près de Barcelone, au le château familial de Villafranca de Penades (vers 1175), Raymond de Penyafort, parent des comtes de Barcelone et des rois d’Aragon, étudie à l’école cathédrale de Barcelone où il enseigne la rhétorique et la logique ; il étudie le droit à Bologne où, reçu docteur, il enseigne (1216). L’évêque de Barcelone le recrute pour le séminaire de son diocèse (1219). A Viterbe, saint Dominique leur donne quelques uns de ses frères. A Barcelone, chanoine de la cathédrale, prévôt du chapitre, archidiacre, grand vicaire et official (1220), il donne grande solennité à l’Ascension et travaille au soin des pauvres. Le Vendredi Saint 1222, il quitte le clergé séculier pour les Dominicains, sans perdre son influence sur l’évêque de Barcelone. A cette époque, il écrit la Summa de pænitentia, premier ouvrage du genre, qui rassemble les cas de conscience à l’usage des confesseurs. Lorsque Pierre Nolasque fonde l’Ordre de la Merci (1223), dans la cathédrale de Barcelone, en présence de l’évêque et de Jacques Ier d’Aragon, il donne l’habit aux premiers mercédaires dont il rédige la règle pour quoi il obtient l’approbation de Grégoire IX (1235). En 1229, le cardinal de Sainte-Sabine, envoyé comme légat en Espagne pour prêcher la croisade contre les Maures et mettre en application les décrets du quatrième concile du Latran, s’adjoint Raymond de Penyafort qui fait si bien qu’on le charge de prêcher dans les provinces d’Arles et de Narbonne. En 1230, Grégoire IX en fait son confesseur et son chapelain ; nommé pénitencier, il instaure l’Inquisition en Aragon, révise les décrétales et en fait établir la nouvelle collection promulguée par la bulle Rex pacificus (5 septembre 1234). Il refuse l’archevêché de Tarragone et rentre en Aragon pour absoudre Jacques Ier qui a malmené l’évêque élu de Saragosse ; il quitte Barcelone pour rejoindre, à Bologne, le chapitre général de son Ordre qui l’élit maître général (1238). Il fait établir de nouvelles constitutions dominicaines, en usage jusqu’en 1924. Il demande à saint Thomas d’Aquin de rédiger la Somme contre les gentils. Il se démet de sa charge (1240) et retourne au couvent de Barcelone d’où il partit souvent pour prêcher et pour conseiller Jacques Ier. Pour former les missionnaires, il fonde des écoles de langues, comme l’école arabe de Tunis (1245) et l’école d’hébreu de Murcie (1266). Entre les rois d’Aragon et de Castille, il meurt à Barcelone le 6 janvier 1275 ; l’archevêque de Tarragone demande, dès 1297, sa canonisation qui ne sera faite par Clément VIII que le 29 avril 1601.
– Jacques Ier d’Aragon, dit le Conquérant, fils de Pierre II, né à Montpellier en 1206, est fait prisonnier à la bataille de Muret où mourut son père (1213) et remis par Simon de Montfort à Pierre Nolasque qui l’élève. Allié au roi de Castille dont il épouse la fille, Eléonore (1221), il conquiert une partie du royaume musulman de Valence (1225) qu’il prendra tout entier (1253). Il conquiert les Baléares (1229-1235). Au profit du comte Thibault de Champagne, il renonce au royaume de Navarre que lui a laissé Sanche VII. Au traité de Corbeil (1256), saint Louis renonce en sa faveur aux comtés de Barcelone et de Roussillon et à la seigneurie de Montpellier. En 1262, il partage ses Etats entre ses deux fils : Pierre obtient l’Aragon, la Catalogne et Valence ; Jacques obtient Majorque, le Roussillon, la Cerdagne et Montpellier. Il meurt en 1276.
Ce 22 août, le Pape Léon XIV a invité à invoquer la Bienheureuse Vierge Marie pour la paix dans le monde et à observer une
Ce 14 août marque les 100 jours du pontificat de Léon XIV. Depuis son élection le 8 mai 2025, il a déjà réussi à imprimer
INFOLETTRE | Pas reçu ou pas encore inscrit à l’infolettre paroissiale ? Consultez-la en cliquant sur le lien ci-dessous : suite
Les obsèques se tiendront le jeudi 28 août à 14:00 à l’église de Francheville En union de prière pour Albert et sa famille. Article du
Chers Parents, bonjour, Voici les fiches pour l’inscription ou la réinscription de votre enfant au catéchisme et à l’aumônerie ( Collège et Lycée), et pour le