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Saint Timothée et saint Tite, compagnons de voyage et amis de saint Paul, furent choisis par l’Apôtre pour gouverner, l’un l’Eglise d’Ephèse et l’autre l’Eglise de Crète. Autrefois, le premier était fêté le 24 janvier et le second le 4 janvier.
Né à Lystres, en Lycaonie (Asie mineure), d’un père grec païen, Timothée fut, avec sa mère (Eunice) et sa grand-mère (Loïs), juives et croyantes, converti par saint Paul. Sur la recommandation des prophètes de la communauté de Lystres, saint Paul le prit comme compagnon de voyage. Saint Paul lui confia des missions près des communautés (Thessalonique, Macédoine, Corinthe) et l’utilisa comme secrétaire pour rédiger les épîtres. Après avoir partagé sa première captivité, il accompagna saint Paul jusqu’à ce que celui-ci lui demandât de rester à Ephèse dont il fut le premier évêque.
C’est une des gloires du disciple d’avoir reçu deux Épîtres célèbres de son maître. Dans la première, saint Paul adressait à saint Timothée ces conseils touchants : « Que personne ne méprise votre jeunesse ; mais soyez l’exemple des fidèles, dans les discours, dans la manière d’agir, dans la charité, dans la foi, dans la chasteté. Jusqu’à ce que je vienne, appliquez-vous à la lecture, à l’exhortation, à l’enseignement. Ne négligez pas la grâce qui est en vous, qui vous a été donnée en vertu d’une prophétie, avec l’imposition des mains des prêtres. Méditez ces choses, soyez-y tout entier, afin que votre avancement soit connu de tous. Veillez sur vous-même et sur votre doctrine, veillez-y sans relâche. En agissant ainsi, vous vous sauverez vous-même et ceux qui vous écoutent ».
Après la mort de saint Paul, saint Timothée, qui avait été préposé par son maître à l’Église d’Éphèse, eut la consolation d’y vivre en l’amitié et la présence du disciple bien-aimé de Jésus, l’Apôtre saint Jean.
La tradition dit qu’il fut massacré à coups de massue et de pierres dans une émeute populaire, pour avoir voulu dissuader le peuple de se mêler aux désordres d’une fête païenne, c’était le 22 janvier de l’an 97, saint Clément Ier étant pape et Nerva empereur romain.
L’Église honore en lui l’un des plus célèbres et des plus saints disciples des Apôtres.
Le corps de saint Timothée fut enterré près de celui de saint Jean, à Ephèse, où il resta jusqu’à ce qu’on le transportât à Constantinople (356).
*****
Né dans le paganisme, Tite aurait été, selon une ancienne tradition, de parents nobles, de la race royale de Minos, roi de Crète. Cette même tradition ajoute qu’il aurait fait de solides études en lettres profanes quand il aurait entendu une voix mystérieuse lui ordonnant de quitter son pays et de sauver son âme, ajoutant que la science profane des Grecs lui serait peu utile pour son salut. Il aurait attendu un an au bout duquel la même voix lui aurait dit de lire les Ecritures des Hébreux. Son oncle, proconsul de Crète, ayant appris la naissance du Messie d’Israël, l’aurait envoyé à Jérusalem où il aurait connu le Seigneur qui l’aurait compté parmi ses soixante-douze disciples. Témoin de la vie publique de Jésus, de sa Passion, de sa Résurrection et de son Ascension, il aurait été consacré par les Apôtres et adjoint à saint Paul.
Plus probablement, on pense que Tite, né païen, fut converti par saint Paul qui, quatorze ans plus tard, l’ayant rencontré à Antioche, l’emmène jusqu’à Jérusalem où il assiste au fameux « concile » qui rejette la circoncision des païens. A partir de ce moment là, il accompagne saint Paul dans ses voyages et lui sert de messager, singulièrement vers les communautés de Corinthe et d’Ephèse. Après la première captivité de saint Paul, il aborda en Crète avec l’Apôtre qui l’y laissa jusqu’à ce qu’il l’envoie en Dalmatie. Après le martyre de saint Paul, Tite revint en Crète où, disent les byzantins, il mourut dans un âge très avancé (quatre-vingt-quatorze ans). Le corps de saint Tite resta dans la cathédrale de Gortyne jusqu’à ce que la cité fût détruite par les musulmans (823) ; on ne retrouva que la tête de Tite qui fut transportée à Venise où elle est vénérée à Saint-Marc.
Comme la divin Semeur dont nous parle l’Évangile de la Sexagésime, saint Tite, disciple bien-aimé de saint Paul, « endura les fatigues de nombreux et lointains voyages sur terre et sur mer pour aller jeter la semence de la divine parole chez des nations répandues en diverses contrées et parlant différentes langues ».
Aussi l’Église nous déclare-t-elle que « Dieu l’avait orné des vertus d’un apôtre » et qu’il fut l’un « des ouvriers que le Maître de la moisson envoya pour faire la moisson ».
Employé par saint Paul dans des circonstances importantes, il aborda avec lui en Crête et fut désigné par l’Apôtre comme Évêque de cette île. C’est là qu’il reçut de son maître une lettre insérée dans le Nouveau Testament et dont nous trouvons des extraits à l’Épître de certaines Messes.
Aujourd’hui nous y lisons, comme l’avait déjà dit le Christ, que l’Évêque est un « intendant de Dieu » et que « Jésus est le Sauveur qui S’est donné afin de nous racheter ».
Saint Tite mourut à l’âge de 94 ans, vers l’an 105, et son nom est comblé de louanges par saint Jean Chrysostôme et par saint Jérôme.
Léon XIV a reçu en audience les participants à la conférence “Intelligence artificielle et soin de la Maison commune”, vendredi 5 décembre, au Palais apostolique.
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